Le département de la Santé et de l’Action sociale vient de connaître son nouveau patron sous le magistère du président de la République Bassirou Diomaye Faye. Le Premier ministre Ousmane Sonko, a publié hier, vendredi 5 avril 2024, la liste de la première formation gouvernementale du 5e président de la République. Un gouvernement de rupture qui incarne le projet Pastef comme l’a annoncé le Premier ministre. A cet effet, Ibrahima Sy remplace ainsi le ministre Marie Khémesse Ngom Ndiaye, au ministère de la Santé et de l’Action sociale.
Ce dernier, géographe de profession, aura la lourde mission de rendre accessibles les soins mais en bonne qualité, avec un plateau technique de pointe. Dr. Ibrahima Sy, qui était jusque-là Maître assistant au département de géographie de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar, est attendu sur plusieurs dossiers, dont la formation du personnel soignant, l’harmonisation dans les carrières professionnelles, l’organisation des écoles de formation mais aussi le recrutement, ainsi que le renforcement du plateau technique, surtout dans les régions, entre autres. Chercheur associé au groupe thématique de recherche « Climat, société et santé » du Centre de Suivi Ecologique (CSE), le nouveau ministre est connu pour sa rigueur, son sens élevé de l’écoute.
Auteur d’un livre qui va paraitre le 25 avril prochain aux éditions Harmattan, dénommé « Assainissement espace urbain et santé », l’actuel ministre n’est pas en terrain inconnu, puisqu’il a conduit plusieurs travaux de recherche dans le domaine de la santé, surtout dans le département de Rufisque.
Son ouvrage parle du développement des villes africaines qui pose avec acuité la question de la gestion de la salubrité, à laquelle Rufisque n’échappe pas, au point de se voir coller l’étiquette de la cité la plus insalubre du Sénégal. En utilisant des marqueurs épidémiologiques comme les maladies diarrhéiques chez les enfants de moins de 5 ans, un intérêt scientifique particulier a été porté sur les enjeux sanitaires liés au processus d’insalubrisation de l’espace urbain.
L’environnement ayant un impact certain sur le développement de plusieurs pathologies comme la diarrhée, l’apport du nouveau ministre pourrait être un plus dans la lutte de plusieurs épidémies, mais surtout, concernant les maladies tropicales négligées, causées souvent par la pauvreté, la promiscuité, les problèmes d’assainissement et de gestion du cadre de vie, dont il a l’expertise, rapporte "Sud Quotidien".
Ce dernier, géographe de profession, aura la lourde mission de rendre accessibles les soins mais en bonne qualité, avec un plateau technique de pointe. Dr. Ibrahima Sy, qui était jusque-là Maître assistant au département de géographie de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar, est attendu sur plusieurs dossiers, dont la formation du personnel soignant, l’harmonisation dans les carrières professionnelles, l’organisation des écoles de formation mais aussi le recrutement, ainsi que le renforcement du plateau technique, surtout dans les régions, entre autres. Chercheur associé au groupe thématique de recherche « Climat, société et santé » du Centre de Suivi Ecologique (CSE), le nouveau ministre est connu pour sa rigueur, son sens élevé de l’écoute.
Auteur d’un livre qui va paraitre le 25 avril prochain aux éditions Harmattan, dénommé « Assainissement espace urbain et santé », l’actuel ministre n’est pas en terrain inconnu, puisqu’il a conduit plusieurs travaux de recherche dans le domaine de la santé, surtout dans le département de Rufisque.
Son ouvrage parle du développement des villes africaines qui pose avec acuité la question de la gestion de la salubrité, à laquelle Rufisque n’échappe pas, au point de se voir coller l’étiquette de la cité la plus insalubre du Sénégal. En utilisant des marqueurs épidémiologiques comme les maladies diarrhéiques chez les enfants de moins de 5 ans, un intérêt scientifique particulier a été porté sur les enjeux sanitaires liés au processus d’insalubrisation de l’espace urbain.
L’environnement ayant un impact certain sur le développement de plusieurs pathologies comme la diarrhée, l’apport du nouveau ministre pourrait être un plus dans la lutte de plusieurs épidémies, mais surtout, concernant les maladies tropicales négligées, causées souvent par la pauvreté, la promiscuité, les problèmes d’assainissement et de gestion du cadre de vie, dont il a l’expertise, rapporte "Sud Quotidien".