Pour la gestion de Ciré Dia : « la fonction de receveur est encadrée. Voilà une fonction qui concentre toutes les fonctions de l’entreprise. Le receveur a une fonction administrative, de représentation, de gestionnaire. En son temps, un receveur quand on le nommait, c’était une commission, parce qu’il y avait une délégation de pouvoir à une commission composée de plusieurs commissions et là , il y avait appel à candidatures.
Cette commission a été suspendue par l’ancien Dg pour réviser les critères pour que cela soit beaucoup plus objectif, mais depuis que Ciré Dia est venu, il n’a plus voulu réhabiliter cette commission. Avec la demande récurrente des syndicats, il a toujours maintenu le statu quo. Quelle est la conséquence aujourd’hui ? C’est lui qui nomme les receveurs selon son bon vouloir et à la tête du client.
Nous comprenons que derrière ces manœuvres malsaines, qui consistent à muter des agents, à démettre des agents de leurs fonctions, sans pour autant passer par les procédures légales, tout cela vise à museler le personnel, a étouffer toute volonté de communiquer sur la gestion de l’entreprise. Nous allons communiquer et dire des choses aussi graves que ce que les gens-là ont dit ».
En ce qui concerne le plan d’actions initié par le syndicat, M. Sarr informe que « dans les jours à venir, nous apporterons la riposte adéquate à ces tentatives de musèlement du personnel. Un plan d’actions a été concocté ».
L’Observateur
Cette commission a été suspendue par l’ancien Dg pour réviser les critères pour que cela soit beaucoup plus objectif, mais depuis que Ciré Dia est venu, il n’a plus voulu réhabiliter cette commission. Avec la demande récurrente des syndicats, il a toujours maintenu le statu quo. Quelle est la conséquence aujourd’hui ? C’est lui qui nomme les receveurs selon son bon vouloir et à la tête du client.
Nous comprenons que derrière ces manœuvres malsaines, qui consistent à muter des agents, à démettre des agents de leurs fonctions, sans pour autant passer par les procédures légales, tout cela vise à museler le personnel, a étouffer toute volonté de communiquer sur la gestion de l’entreprise. Nous allons communiquer et dire des choses aussi graves que ce que les gens-là ont dit ».
En ce qui concerne le plan d’actions initié par le syndicat, M. Sarr informe que « dans les jours à venir, nous apporterons la riposte adéquate à ces tentatives de musèlement du personnel. Un plan d’actions a été concocté ».
L’Observateur