Selon l’expert en transport et sécurité routière, Ibrahima Ndongo, il faut une enquête technique pour détecter les véritables causes des «chocs frontaux» devenus fréquents au Sénégal. L’animateur de l’émission "E-Transports" sur "iRadio souligne que «si les indices de vitesse et de charge sont respectés, l’éclatement d’un pneu est très rare».
«Structuré pour transporter des personnes avec des places assises, des soutes à bagages sur les flancs, si ce véhicule-là arrivé au Sénégal, est transformé avec porte-bagages au-dessus, il devient un cargo. C’est-à-dire plusieurs tonnes de bagages sur le toit et un peu partout, une vitesse extraordinaire.
Normalement au-delà de 14 places, la loi dit que ‘’la vitesse maximale, c’est 70 km/h.’’ Si le véhicule roulait à une vitesse régulière, un conducteur correct et en forme qui tient bien son volant, si les indices de vitesse et de charge sont respectés, l’éclatement d’un pneu devient un événement exceptionnel, très rare. Ce n’est qu’en Afrique qu’on voit un accident aussi grave et dire que c’est dû à l’éclatement d’un pneu. De mémoire d’homme, je n’ai jamais entendu un accident d’une gravité pareille. J’ai vu des chocs de trains, de bus aussi, mais pas avec autant de morts.»
Avec Bes Bi
«Structuré pour transporter des personnes avec des places assises, des soutes à bagages sur les flancs, si ce véhicule-là arrivé au Sénégal, est transformé avec porte-bagages au-dessus, il devient un cargo. C’est-à-dire plusieurs tonnes de bagages sur le toit et un peu partout, une vitesse extraordinaire.
Normalement au-delà de 14 places, la loi dit que ‘’la vitesse maximale, c’est 70 km/h.’’ Si le véhicule roulait à une vitesse régulière, un conducteur correct et en forme qui tient bien son volant, si les indices de vitesse et de charge sont respectés, l’éclatement d’un pneu devient un événement exceptionnel, très rare. Ce n’est qu’en Afrique qu’on voit un accident aussi grave et dire que c’est dû à l’éclatement d’un pneu. De mémoire d’homme, je n’ai jamais entendu un accident d’une gravité pareille. J’ai vu des chocs de trains, de bus aussi, mais pas avec autant de morts.»
Avec Bes Bi