Les Délégués des travailleurs de l’hôtellerie de Dakar se sont réunis en Intersyndicale le Mardi 07 Février 2023 à la Maison des Travailleurs Keur Madia pour analyser la situation des travailleurs.
L’Intersyndicale des délégués du personnel déplore les conditions difficiles de travail dans le secteur, difficultés liées à plusieurs formes d’exploitation, des horaires inadaptés, une rémunération faible qui ne fait pas vivre son homme, un manque de considération et de mépris à l’endroit des travailleurs.
Malgré tous les sacrifices consentis par les travailleurs de l’hôtellerie, des cafés, bars et restaurants et les efforts du gouvernement pour soutenir l’industrie touristique, par la mise en place d’un Fonds de résilience, d’un fonds dédié à la compensation des pertes de revenus des unités hôtelières, l’augmentation du crédit hôtelier, surtout pour la sauvegarde des emplois, le patronat continue de jouer la comédie et le dilatoire, pour ne pas respecter les accords et les engagements contenus dans le Pacte de Stabilité Sociale et de Relance Economique, particulièrement sur la priorité d’embauche des travailleurs victimes de licenciements, pour difficultés économiques.
Plus grave encore, les patrons malgré la relance, remettent quotidiennement en cause les acquis obtenus de haute lutte.
L’Intersyndicale des délégués dénonce avec vigueur le non-respect des accords conclu entre les organisations syndicales de l’hôtellerie et le patronat ; exigent le recrutement des travailleurs licenciés du fait de la Covid 19, et l’application d’un horaire de quarante heures par semaine à la place de l’équivalence (48 heures par semaine effectuées et payées 40 heures) ; même les pays esclavagistes l'ont bannie en ce 21ème siècle.
Face à une telle situation, l’Intersyndicale des délégués du personnel de hôtellerie interpelle le gouvernement, particulièrement le Ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions et le Ministre du Tourisme, pour que les droits des travailleurs et les accords soient respectés.
L’Intersyndicale des délégués dénonce avec la dernière énergie, les menaces et réprimandes dont les délégués sont victimes dans certains hôtels et l’utilisation abusive de travailleurs journaliers embauchés depuis plus de 5, 10 ou 15 ans, sans aucune régularisation.
L’Intersyndicale des travailleurs de l’hôtellerie de Dakar décide de mettre en oeuvre un plan d’action dans les prochains jours, allant de points de presse, aux marches en passant par le port de brassard rouges sur les lieux de travail, les sit-in, etc.
Elle lance un appel à tous les travailleurs et travailleuses du secteur de l’hôtellerie à se tenir prêt pour répondre à toute éventualité.
« Non à l’oppression et à l’esclavage ! Pour le respect de nos droits ! », clame l’Intersyndicale des délégués de l’hôtellerie.
L’Intersyndicale des délégués du personnel déplore les conditions difficiles de travail dans le secteur, difficultés liées à plusieurs formes d’exploitation, des horaires inadaptés, une rémunération faible qui ne fait pas vivre son homme, un manque de considération et de mépris à l’endroit des travailleurs.
Malgré tous les sacrifices consentis par les travailleurs de l’hôtellerie, des cafés, bars et restaurants et les efforts du gouvernement pour soutenir l’industrie touristique, par la mise en place d’un Fonds de résilience, d’un fonds dédié à la compensation des pertes de revenus des unités hôtelières, l’augmentation du crédit hôtelier, surtout pour la sauvegarde des emplois, le patronat continue de jouer la comédie et le dilatoire, pour ne pas respecter les accords et les engagements contenus dans le Pacte de Stabilité Sociale et de Relance Economique, particulièrement sur la priorité d’embauche des travailleurs victimes de licenciements, pour difficultés économiques.
Plus grave encore, les patrons malgré la relance, remettent quotidiennement en cause les acquis obtenus de haute lutte.
L’Intersyndicale des délégués dénonce avec vigueur le non-respect des accords conclu entre les organisations syndicales de l’hôtellerie et le patronat ; exigent le recrutement des travailleurs licenciés du fait de la Covid 19, et l’application d’un horaire de quarante heures par semaine à la place de l’équivalence (48 heures par semaine effectuées et payées 40 heures) ; même les pays esclavagistes l'ont bannie en ce 21ème siècle.
Face à une telle situation, l’Intersyndicale des délégués du personnel de hôtellerie interpelle le gouvernement, particulièrement le Ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions et le Ministre du Tourisme, pour que les droits des travailleurs et les accords soient respectés.
L’Intersyndicale des délégués dénonce avec la dernière énergie, les menaces et réprimandes dont les délégués sont victimes dans certains hôtels et l’utilisation abusive de travailleurs journaliers embauchés depuis plus de 5, 10 ou 15 ans, sans aucune régularisation.
L’Intersyndicale des travailleurs de l’hôtellerie de Dakar décide de mettre en oeuvre un plan d’action dans les prochains jours, allant de points de presse, aux marches en passant par le port de brassard rouges sur les lieux de travail, les sit-in, etc.
Elle lance un appel à tous les travailleurs et travailleuses du secteur de l’hôtellerie à se tenir prêt pour répondre à toute éventualité.
« Non à l’oppression et à l’esclavage ! Pour le respect de nos droits ! », clame l’Intersyndicale des délégués de l’hôtellerie.