C’est la stupeur et la consternation à Bargny où le corps inerte d’une jeune femme, âgé de 32 ans, a été découvert à quelques encablures du Lycée de Bargny. Un réveil brutal pour les populations riveraines en cette matinée du vendredi. Ndèye Guèye, la victime, aurait reçu plusieurs coups au visage sous l’œil gauche. Le malheureux incident a eu lieu, d'après Le Populaire, dans la nuit du jeudi 10 au vendredi 11 décembre. Sur place des traces d’une lutte se faisait voir, ce qui présage d’une résistance de la défunte avec le ou les auteurs de cet acte « odieux ». Au quartier cité Est 2 les commentaires vont bon train sur les circonstances de cette mort suspecte.
Ndèye Guèye, femme de charge, célibataire sans enfant, a été envoyée vers 22 heures, selon le journal, chez des parents établis au quartier Marnane par son père, selon des informations recueillies auprès des membres de sa famille. Après des moments d’attente, et constatant qu’elle n’était toujours pas de retour, ils se sont résolus à appeler sur son téléphone portable sans succès. Au petit matin, alors que le bruit d’une découverte macabre d’un corps d’une jeune fille aux abords du Lycée de Bargny a commencé à se répandre comme une traînée de poudre, les premiers soupçons ont commencé à naître dans la famille Guèye. C’est ainsi que des passants ont identifié la victime qui habite à quelques encablures des lieux où le corps a été découvert.
Mouhamed Abdoulaye Ndiaye, qui a sa boutique juste en face du lieu où la victime a été retrouvée, narre : "Dans la nuit du jeudi, j’ai baissé pavillon vers minuit, puis je suis rentré chez moi au quartier Diamalaye où j’ai passé la nuit. Comme je suis un lève tôt, je me suis réveillé aux environ de 5 heures du matin, après la Salat, je me suis rendu directement à notre seconde boutique qui se trouve de l’autre côté d’où je suis revenu quelques instant après avoir fini ma séance de wird". Ainsi, dit-il, "une femme est entrée en première dans ma boutique, après l'avoir servie, cette cliente est revenue sur ses pas en courant pour m’annoncer qu’il y avait le corps d’une femme qui gisait par terre derrière le poste de courant".
Alertés, les hommes du commandant Niang, du poste de police de Bargny, ont rappliqué sur les lieux pour procéder aux constats d’usage avant que le corps sans vie ne soit acheminé par les sapeurs-pompiers de la 14 ème compagnie à l’hôpital Youssou Mbargane Diop de Rufisque pour autopsie. Tous les indices sont à exploiter pour élucider cette découverte macabre dans la cité léboue réputée pourtant calme. Pour l’heure, aucune piste sur le mobile de ce drame n’est encore avancée par les enquêteurs. Juste des suppositions et des supputations avancées par ci et par là pour tenter de mettre en concordance certains puzzles sur ce « meurtre » mystérieux. En tout cas, indiquent nos confrères, tous les membres de sa famille sont attendus au poste de police pour un interrogatoire.
Ndèye Guèye, femme de charge, célibataire sans enfant, a été envoyée vers 22 heures, selon le journal, chez des parents établis au quartier Marnane par son père, selon des informations recueillies auprès des membres de sa famille. Après des moments d’attente, et constatant qu’elle n’était toujours pas de retour, ils se sont résolus à appeler sur son téléphone portable sans succès. Au petit matin, alors que le bruit d’une découverte macabre d’un corps d’une jeune fille aux abords du Lycée de Bargny a commencé à se répandre comme une traînée de poudre, les premiers soupçons ont commencé à naître dans la famille Guèye. C’est ainsi que des passants ont identifié la victime qui habite à quelques encablures des lieux où le corps a été découvert.
Mouhamed Abdoulaye Ndiaye, qui a sa boutique juste en face du lieu où la victime a été retrouvée, narre : "Dans la nuit du jeudi, j’ai baissé pavillon vers minuit, puis je suis rentré chez moi au quartier Diamalaye où j’ai passé la nuit. Comme je suis un lève tôt, je me suis réveillé aux environ de 5 heures du matin, après la Salat, je me suis rendu directement à notre seconde boutique qui se trouve de l’autre côté d’où je suis revenu quelques instant après avoir fini ma séance de wird". Ainsi, dit-il, "une femme est entrée en première dans ma boutique, après l'avoir servie, cette cliente est revenue sur ses pas en courant pour m’annoncer qu’il y avait le corps d’une femme qui gisait par terre derrière le poste de courant".
Alertés, les hommes du commandant Niang, du poste de police de Bargny, ont rappliqué sur les lieux pour procéder aux constats d’usage avant que le corps sans vie ne soit acheminé par les sapeurs-pompiers de la 14 ème compagnie à l’hôpital Youssou Mbargane Diop de Rufisque pour autopsie. Tous les indices sont à exploiter pour élucider cette découverte macabre dans la cité léboue réputée pourtant calme. Pour l’heure, aucune piste sur le mobile de ce drame n’est encore avancée par les enquêteurs. Juste des suppositions et des supputations avancées par ci et par là pour tenter de mettre en concordance certains puzzles sur ce « meurtre » mystérieux. En tout cas, indiquent nos confrères, tous les membres de sa famille sont attendus au poste de police pour un interrogatoire.