« Nous dénonçons le comportement de certaines personnes qui sont en train de ternir l’image de marque de l’hôpital. Or, c’est le meilleur hôpital de ce pays. Malgré cette forte densité de populations, nous sommes au chevet des malades nuit et jour », a fait savoir le secrétaire général de l’intersyndicale des travailleurs de l’hôpital de Pikine.
Abdoul Dème, porte-parole de l’intersyndicale des travailleurs de l’hôpital de Pikine, indique que pour ce vaste département qui s’étale sur 87 km2, avec un peu plus d'un million d'habitants, il y a très peu de lits. « Au niveau des urgences, il n’y a que 124 lits pour un département aussi peuplé que Pikine et au niveau des urgences, il n’y a que 11 lits. On est en train d’agrandir les urgences », a-t-il révélé.
Pour autant, ces travailleurs font confiance aux enquêteurs pour faire leur travail. Toutefois, ils sont conscients d’avoir rempli leur mission. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle, ils ne peuvent pas comprendre les attaques qu’ils subissent depuis quelques jours. « Depuis presque trois jours, on s’acharne sur nous. Ce n’est pas normal », a-t-il déploré. Auparavant, tout le personnel regroupé au sein de l’intersyndicale a présenté ses condoléances à la famille éplorée « parce que notre vocation, c’est de soigner les malades », a précisé M. Dème.
Abdoul Dème, porte-parole de l’intersyndicale des travailleurs de l’hôpital de Pikine, indique que pour ce vaste département qui s’étale sur 87 km2, avec un peu plus d'un million d'habitants, il y a très peu de lits. « Au niveau des urgences, il n’y a que 124 lits pour un département aussi peuplé que Pikine et au niveau des urgences, il n’y a que 11 lits. On est en train d’agrandir les urgences », a-t-il révélé.
Pour autant, ces travailleurs font confiance aux enquêteurs pour faire leur travail. Toutefois, ils sont conscients d’avoir rempli leur mission. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle, ils ne peuvent pas comprendre les attaques qu’ils subissent depuis quelques jours. « Depuis presque trois jours, on s’acharne sur nous. Ce n’est pas normal », a-t-il déploré. Auparavant, tout le personnel regroupé au sein de l’intersyndicale a présenté ses condoléances à la famille éplorée « parce que notre vocation, c’est de soigner les malades », a précisé M. Dème.