« C’est pourquoi depuis 2005, un travail acharné de tout le personnel médical et paramédical avait abouti au projet d’établissement 2014-2018, validé et arrimé à un projet de reconstruction de l’hôpital sur le même site et en mode phasage. La maquette et le plan architectural ont été validés et présentés au président de la République Macky Sall en 2014, qui l’avait intégré dans le Plan Sénégal Émergent PSE », a notifié professeur Madieng Dieng, pendant une rencontre avec la presse que les chefs de service de cet hôpital ont tenue, pour interpeller le Chef de l’Etat sur l’urgence d’agir.
Le coût global est estimé à 60 milliards de nos francs.
Du fait du retard noté dans la reconstruction, le projet d’établissement est, actuellement, en cours de réactualisation. Cette mise à jour du projet d’établissement coïncide avec un besoin croissant d’adapter les équipements médico-techniques aux progrès et innovations technologiques contemporains. C’est d’ailleurs un des objectifs de ce projet, à savoir le relèvement du plateau technique pour permettre aux praticiens d’exercer pleinement leur art et par ricochet, de réduire le coût excessif des évacuations sanitaires, renseigne toujours le professeur Dieng.
L’HALD dispose d’une trentaine de spécialités (médicales, chirurgicales et d’aide au diagnostic). Il possède l’un des plus gros potentiels de ressources humaines sur le plan médical de l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Et paradoxalement, il est dans un état de décrépitude avancé. L’HALD n’est plus en mesure de remplir ses missions d’hôpital universitaire (soins, enseignement, formation, recherche).
Le coût global est estimé à 60 milliards de nos francs.
Du fait du retard noté dans la reconstruction, le projet d’établissement est, actuellement, en cours de réactualisation. Cette mise à jour du projet d’établissement coïncide avec un besoin croissant d’adapter les équipements médico-techniques aux progrès et innovations technologiques contemporains. C’est d’ailleurs un des objectifs de ce projet, à savoir le relèvement du plateau technique pour permettre aux praticiens d’exercer pleinement leur art et par ricochet, de réduire le coût excessif des évacuations sanitaires, renseigne toujours le professeur Dieng.
L’HALD dispose d’une trentaine de spécialités (médicales, chirurgicales et d’aide au diagnostic). Il possède l’un des plus gros potentiels de ressources humaines sur le plan médical de l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Et paradoxalement, il est dans un état de décrépitude avancé. L’HALD n’est plus en mesure de remplir ses missions d’hôpital universitaire (soins, enseignement, formation, recherche).