Le collectif français de l’association d’aide, de défense homosexuelle pour légalité des orientations sexuelles (Adheos) et la défense des Lgbt (Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) s’est mêlé à l’affaire du jeune l’homosexuel arrêté et bastonné à Touba par Safinatoul Aman. Il a saisi le ministre de l’Intérieur français afin qu’il interdit l’accès en Europe à Serigne Cheikh Lô Ngabou, chef de la « police religieuse » et d’autres marabouts sénégalais qui bafouent les droits des homosexuels.
Le Collectif ne s’en arrête pas là. Il a fait ampliation de sa lettre à l’Union européenne, estimant que les droits des homosexuels sont bafoués au Sénégal, plus précisément à Touba.
Interrogé, le président du collectif Free qui regroupe des homosexuels sénégalais a révélé que « depuis l’arrestation du jeune, le Collectif Free a tenté de le retrouver. Malheureusement, des persécutions homophobes se produisent quotidiennement à Touba et nous ne savons pas si ce jeune homme est toujours en vie, ni où il se trouve. (...) ».
Pour rappel, à quelques jours du Magal de Touba, célébré le 6 octobre dernier, les éléments de Safinatoul Aman avaient surpris un présumé homosexuel au quartier Guédé à Touba. Il a été filmé et bastonné par les éléments de la « police religieuse » avant d’être chassé des lieux.
Le Collectif ne s’en arrête pas là. Il a fait ampliation de sa lettre à l’Union européenne, estimant que les droits des homosexuels sont bafoués au Sénégal, plus précisément à Touba.
Interrogé, le président du collectif Free qui regroupe des homosexuels sénégalais a révélé que « depuis l’arrestation du jeune, le Collectif Free a tenté de le retrouver. Malheureusement, des persécutions homophobes se produisent quotidiennement à Touba et nous ne savons pas si ce jeune homme est toujours en vie, ni où il se trouve. (...) ».
Pour rappel, à quelques jours du Magal de Touba, célébré le 6 octobre dernier, les éléments de Safinatoul Aman avaient surpris un présumé homosexuel au quartier Guédé à Touba. Il a été filmé et bastonné par les éléments de la « police religieuse » avant d’être chassé des lieux.