Du commissaire Boubacar Sadio au Capitaine Mamadou Dièye, en passant par le colonel Abdoulaye Aziz Ndaw et le commissaire Cheikhouna Keita, ce phénomène s’accentue d’année en année. Selon le psychologue-conseiller, Moussa Kâ, ce comportement est dû à une crise de confiance du public à l’égard des gouvernants et de la classe politique.
«Les politiques ne cherchent qu’à défendre leurs intérêts. Ils ne se soucient même pas du peuple. Donc, deux sentiments se battent chez les membres de ces corporations: le sentiment d’appartenir à un corps qui doit se taire et le sentiment d’appartenir à une société qui doit se révolter», renseigne le journal.
A en croire le psychologue, "les gendarmes, les policiers, les militaires… ne sont pas des individus hors de la société ; mais ils sont dedans. C’est pourquoi si les «corps du silence» concernés et frustrés ne peuvent pas se
mêler à ce comportement aberrant, ils tentent de renverser la tendance, en se rebellant. Le danger est l’effet domino, puisque les membres de ces corps détiennent des armes. Et ceux qui sont supposés se taire, quand ils contestent, les gens développent le sentiment qu’ils ont raison», poursuit-il dans le journal.
«Les politiques ne cherchent qu’à défendre leurs intérêts. Ils ne se soucient même pas du peuple. Donc, deux sentiments se battent chez les membres de ces corporations: le sentiment d’appartenir à un corps qui doit se taire et le sentiment d’appartenir à une société qui doit se révolter», renseigne le journal.
A en croire le psychologue, "les gendarmes, les policiers, les militaires… ne sont pas des individus hors de la société ; mais ils sont dedans. C’est pourquoi si les «corps du silence» concernés et frustrés ne peuvent pas se
mêler à ce comportement aberrant, ils tentent de renverser la tendance, en se rebellant. Le danger est l’effet domino, puisque les membres de ces corps détiennent des armes. Et ceux qui sont supposés se taire, quand ils contestent, les gens développent le sentiment qu’ils ont raison», poursuit-il dans le journal.