« LE « HÉNNÉ TIME » SATANIQUE ne prospérera pas au Sénégal, incha Allah ! À PEINE L’OPINION s’est-elle remise de ses émotions et de son écœurement légitimes, suscités récemment par l’irruption de « danseuses brésiliennes » se livrant, sous prétexte de « danse exotique », à un scandaleux ÉTALAGE PUBLIC D’ATTRIBUTS FÉMININS, lors d’une soirée sulfureuse au King Fahd Palace, une nouvelle vague d’indignation agite depuis quelques jours de larges franges de la société sénégalaise, à travers un EXHIBITIONISME SEXUEL SATANIQUE, qui envahit à nouveau l’espace public virtuel, qui est un patrimoine commun.
LABELLISÉE « HÉNNÉ TIME », et soutenue par une rythmique endiablée, la promotrice (et actrice en même temps), sous prétexte de faire le marketing de ses produits cosmétiques, se livre à des dérives scéniques choquantes et insolentes. COMME le recommande l’Islam – et comme nous l’avions fait par ailleurs avec Cheikh Ahmed Cissé – JAMRA tente depuis de joindre, pour une « Shura », la promotrice de ces OBSCÉNITÉS PUBLIQUES, aux antipodes de nos valeurs socio-culturelles (ngir meuneu wax ak moom si ndiék ak sutura) avant de saisir, éventuellement, comme nous y autorise la Loi, la BRIGADE DES MŒURS et le PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE.
AUX MOTIFS de violation des articles 318 et 324, ainsi que la loi 2008-11 du 25 janvier 2008, sur l’attentat à la pudeur, l’outrage public aux bonnes mœurs et usage de moyens électroniques pour véhiculer des images, sons et vidéos qui portent atteinte à nos bonnes mœurs.