Khalifa Sall ne manque pas d’inviter à faire la part des choses entre fonctions administratives et engagement politique.
« Ceux qui ont choisi de servir la Nation dans la haute administration doivent s’abstenir de faire de la politique. Je milite pour instaurer l’incompatibilité entre certains postes, notamment en ce qui concerne les gestionnaires des régies financières ».
Il s’est également montré un fervent partisan de la souveraineté alimentaire. « Notre pays ne peut continuer à dépendre des importations de denrées. Nous avons de l'eau, des terres et une population très jeune, j'apporterai la volonté et les moyens nécessaires pour un boom agricole capable d'assurer notre souveraineté alimentaire (…) L'agriculture sera une réponse forte à l'emploi des jeunes et à la renaissance de nos terroirs. La production et la transformation garantiront une autosuffisance alimentaire aux populations et des ressources suffisantes aux acteurs du secteur pour faire face aux charges sociales quotidiennes ».
« Ceux qui ont choisi de servir la Nation dans la haute administration doivent s’abstenir de faire de la politique. Je milite pour instaurer l’incompatibilité entre certains postes, notamment en ce qui concerne les gestionnaires des régies financières ».
Il s’est également montré un fervent partisan de la souveraineté alimentaire. « Notre pays ne peut continuer à dépendre des importations de denrées. Nous avons de l'eau, des terres et une population très jeune, j'apporterai la volonté et les moyens nécessaires pour un boom agricole capable d'assurer notre souveraineté alimentaire (…) L'agriculture sera une réponse forte à l'emploi des jeunes et à la renaissance de nos terroirs. La production et la transformation garantiront une autosuffisance alimentaire aux populations et des ressources suffisantes aux acteurs du secteur pour faire face aux charges sociales quotidiennes ».
De la même manière, le candidat de la coalition Taxawu Sénégal a chanté les vertus du dialogue.
« Je suis un partisan du dialogue car toutes les divergences se résolvent autour d’une table. Dialogue ne veut cependant pas dire compromis ou compromission. Malgré les critiques, le dernier dialogue national a produit des avancées salutaires. Par exemple, le nombre de parrains exigés aux candidats est passé de 60 000 à 40 000 », a-t-il souligné.
Dans le même sillage il préconise une diplomatie ouverte. « Je milite pour une diplomatie ouverte et des partenariats diversifiés dans lesquels notre pays trouvera d’abord et, par-dessus-tout, son compte. Ce sera avec tous les partenaires au développement disposés », indique l’ancien maire de Dakar.
« Je suis un partisan du dialogue car toutes les divergences se résolvent autour d’une table. Dialogue ne veut cependant pas dire compromis ou compromission. Malgré les critiques, le dernier dialogue national a produit des avancées salutaires. Par exemple, le nombre de parrains exigés aux candidats est passé de 60 000 à 40 000 », a-t-il souligné.
Dans le même sillage il préconise une diplomatie ouverte. « Je milite pour une diplomatie ouverte et des partenariats diversifiés dans lesquels notre pays trouvera d’abord et, par-dessus-tout, son compte. Ce sera avec tous les partenaires au développement disposés », indique l’ancien maire de Dakar.