Convoqué à deux reprises à la police, Idrissa Camara s’est rendu le jour du Magal (à 23 heures) chez la dame. Jugé hier pour harcèlement, il encourt un an de prison ferme. Il sera édifié sur son sort le 20 octobre prochain.
Âgé à peine d’une vingtaine d’années, Idrissa Camara fantasmait pour une dame mariée et plus âgée que lui. Très téméraire, il est allé toquer à la porte de la dame qui est cheffe d’agence d’une banque de la place pour lui déclarer sa flamme tout en sachant sa situation matrimoniale.
Choqué par cette attitude, un locataire de l’immeuble où habite Mme Sall a informé l’agence immobilière qui lui avait loué afin qu’elle rompe le contrat du gardien Idrissa Camara. N’empêche, il a continué à appeler la dame et à la bombarder de messages. Poussant le bouchon loin, il est allé squatter les lieux.
Harcelée sans cesse, Mme Sall a été obligée de changer son numéro de téléphone. Malgré tout, elle n’est pas parvenue à se débarrasser de son harceleur.
N’en pouvant plus, elle a décidé de déposer une plainte au commissariat des Hlm. Interpellé, le mis en cause avait promis de la laisser tranquille avant de fouler au pied cet engagement.
C’est ainsi que la cheffe d’agence d’une banque de la place a saisi la police de cybercriminalité d’une autre plainte.
Le jour du Magal vers 23 heures, Idrissa Camara s’est introduit dans la maison de la dame. Lorsqu’il a toqué avec insistance à la porte, la maman de la plaignante a ouvert avant d’ameuter les voisins. C’est ainsi que la police a été saisie.
Arrêté, il a été déféré au parquet et placé sous mandat de dépôt. Jugé hier par le tribunal d’instance de Dakar, Idrissa Camara, qui risque de purger un an de prison ferme si le réquisitoire du parquet est appliqué, sera édifié sur son sort le 20 octobre prochain.
L’As
Âgé à peine d’une vingtaine d’années, Idrissa Camara fantasmait pour une dame mariée et plus âgée que lui. Très téméraire, il est allé toquer à la porte de la dame qui est cheffe d’agence d’une banque de la place pour lui déclarer sa flamme tout en sachant sa situation matrimoniale.
Choqué par cette attitude, un locataire de l’immeuble où habite Mme Sall a informé l’agence immobilière qui lui avait loué afin qu’elle rompe le contrat du gardien Idrissa Camara. N’empêche, il a continué à appeler la dame et à la bombarder de messages. Poussant le bouchon loin, il est allé squatter les lieux.
Harcelée sans cesse, Mme Sall a été obligée de changer son numéro de téléphone. Malgré tout, elle n’est pas parvenue à se débarrasser de son harceleur.
N’en pouvant plus, elle a décidé de déposer une plainte au commissariat des Hlm. Interpellé, le mis en cause avait promis de la laisser tranquille avant de fouler au pied cet engagement.
C’est ainsi que la cheffe d’agence d’une banque de la place a saisi la police de cybercriminalité d’une autre plainte.
Le jour du Magal vers 23 heures, Idrissa Camara s’est introduit dans la maison de la dame. Lorsqu’il a toqué avec insistance à la porte, la maman de la plaignante a ouvert avant d’ameuter les voisins. C’est ainsi que la police a été saisie.
Arrêté, il a été déféré au parquet et placé sous mandat de dépôt. Jugé hier par le tribunal d’instance de Dakar, Idrissa Camara, qui risque de purger un an de prison ferme si le réquisitoire du parquet est appliqué, sera édifié sur son sort le 20 octobre prochain.
L’As