VIPEOPLES.NET - La question du mariage entre même sexe ne se pose plus. Ce qui fait actuellement débat en France , particulièrement à Nantes, dans certains lycées, c'est la lutte contre le sexisme.
Pour symboliser cette cause, ce sont des élèves qui ont organisé une journée «Ce que soulève la jupe», devant les grilles du lycée Clémenceau, à Nantes. Le but étant que les garçons et les filles mettent une jupe afin de mieux combattre la discrimination qui émane des écoles.
Albéric Dumont, coordinateur général de la Manif pour tous et des opposants au mariage homosexuel ont eux aussi mannifesté contre cette journée du port de jupe, instaurée par les lycéens.
La présidente de la Manif pour tous, Ludovine de la Rochère, déplore que l’éducation nationale soutienne une telle opération. «On en arrive à des propositions déplacées, de mauvais goût, ce n'est pas le rôle de l'école d'aller sur des questions aussi personnelles. Que les lycéens le fassent, le portent et s'en amusent c'est une chose, que l'Éducation nationale le relaie, je trouve que c'est totalement déplacé», a-t-elle indiqué à l'AFP
Pour certains de ces élèves, les écoles peuvent bien accepter Le port de la jupe pour les garçons comme le kilt écossais par exemple.
Aujourd'hui, des lycées se donnent rendez-vous pour des réunions portant sur la lutte contre le sexisme avec comme proposition: Rénover le coté vestimentaire des apprenants.
La rédaction
Pour symboliser cette cause, ce sont des élèves qui ont organisé une journée «Ce que soulève la jupe», devant les grilles du lycée Clémenceau, à Nantes. Le but étant que les garçons et les filles mettent une jupe afin de mieux combattre la discrimination qui émane des écoles.
Albéric Dumont, coordinateur général de la Manif pour tous et des opposants au mariage homosexuel ont eux aussi mannifesté contre cette journée du port de jupe, instaurée par les lycéens.
La présidente de la Manif pour tous, Ludovine de la Rochère, déplore que l’éducation nationale soutienne une telle opération. «On en arrive à des propositions déplacées, de mauvais goût, ce n'est pas le rôle de l'école d'aller sur des questions aussi personnelles. Que les lycéens le fassent, le portent et s'en amusent c'est une chose, que l'Éducation nationale le relaie, je trouve que c'est totalement déplacé», a-t-elle indiqué à l'AFP
Pour certains de ces élèves, les écoles peuvent bien accepter Le port de la jupe pour les garçons comme le kilt écossais par exemple.
Aujourd'hui, des lycées se donnent rendez-vous pour des réunions portant sur la lutte contre le sexisme avec comme proposition: Rénover le coté vestimentaire des apprenants.
La rédaction