La représentante du secrétaire général des Nations unies à Bissau, Rosine Coulibaly, a qualifié de « sensible » la situation de l'ancien Premier ministre, affirmant que des discussions sur son sort sont en cours.
« Insécurité »
« Aristides Gomes s’est senti en insécurité. Il a demandé la protection des Nations unies et c’est notre rôle. C’est notre rôle et ce n’est pas la première fois en réalité qu’en Guinée-Bissau et ailleurs d’ailleurs que nous donnons la protection à ceux qui pensent qu’il y a un risque pour leur vie, ou un risque pour l’observation de leur droit », rappelle Rosine Coulibaly.
La représentante du secrétaire général des Nations unies à Bissau précise que cela fait partie de leurs missions et que cela ne pose pas de problème.
Respecter les droits de la personne
Rosine Coulibaly se veut rassurante: « La mission Binugbis, le Bureau intégré des Nations Unies, va fermer, mais les Nations unies sont là . Si quelqu’un est sous la protection des Nations unies, les Nations unies étant là , la protection doit continuer. Et nous espérons justement que ce problème va se résoudre de la plus belle des manières en respectant bien sûr les textes du pays, mais en respectant les droits de cette personne .»
« Insécurité »
« Aristides Gomes s’est senti en insécurité. Il a demandé la protection des Nations unies et c’est notre rôle. C’est notre rôle et ce n’est pas la première fois en réalité qu’en Guinée-Bissau et ailleurs d’ailleurs que nous donnons la protection à ceux qui pensent qu’il y a un risque pour leur vie, ou un risque pour l’observation de leur droit », rappelle Rosine Coulibaly.
La représentante du secrétaire général des Nations unies à Bissau précise que cela fait partie de leurs missions et que cela ne pose pas de problème.
Respecter les droits de la personne
Rosine Coulibaly se veut rassurante: « La mission Binugbis, le Bureau intégré des Nations Unies, va fermer, mais les Nations unies sont là . Si quelqu’un est sous la protection des Nations unies, les Nations unies étant là , la protection doit continuer. Et nous espérons justement que ce problème va se résoudre de la plus belle des manières en respectant bien sûr les textes du pays, mais en respectant les droits de cette personne .»