Si l’affaire était sur toutes les langues des officiels français et notamment de l’Élysée, c’est journal français Libération, dans son édition d’aujourd’hui, qui dénonce un réseau de passeports diplomatiques de Guinée-Bissau à Paris. Au passage le journal révèle que les prix en moyenne, tournent entre 50 000 et 200.000 euros et que, plusieurs délinquants à col blanc auraient déjà été acquéreurs.
Selon Libération, les prix pouvaient même atteindre 200 000 euros en fonction du pédigrée du demandeur, mais en moyenne, le document coûtait 50 000 payés en espèces. Le commerce juteux de ce document très prisé aurait le soutien des autorités Bissau guinéennes depuis que l’Union Européenne avait mie en garde les gouvernements de nombreux pays sur la délivrance de passeports diplomatiques.
Plusieurs gouvernements africains étains fichés au Quai d’Orsay et au 141, Boulevard Mortier, siège de la DGSE comme des soutiens au Terrorisme et blanchiment de capitaux. Rapidement, Dakar avait opté pour le changement de version des passeports diplomatiques
Pourtant, depuis plusieurs mois les services de renseignements français avaient tiré sur la sonnette d’alarme. Allant même jusqu’à créer un incident diplomatique en filant dans Paris le « général » Umaru Embalò président de la Guinée Bissau. Les espions français avaient découvert les locaux situés dans le sous-sol d’un immeuble chic près des Champs Elysées où les candidats se rendaient pour été faire établir le document. Bizarrement, ces locaux n’étaient pas éloignés du palace parisien où le « général » prenait ses quartiers auparavant.
Mieux, les renseignements français ont réussi à identifier l’homme qui s’occupe décès affaires. Ce homme d’affaires répondant au surnom de Rubens, est de nationalité malienne et, lié à la franc-maçonnerie. L’homme qui fréquente le milieu interlope est pourtant bien connu des services de police de l’Hexagone et à travers son commerce, Rubens délivre des passeports diplomatiques qui permettent à certains délinquants de passer librement les contrôles dans les aéroports.
C’est le cas d’une personne condamnée à 3 ans de prison effective pour commerce illicite d’armes de guerre, kalachnikov et lance-roquettes, une affaire qu’il maintenait depuis sa cellule à Nanterre, banlieue de Paris. Depuis l’homme titulaire d’un passeport diplomatique Bissau guinéen voyage à sa guise dans différents pays.
Certains détenteurs de passeports circulent avec une lettre d’une ministre guinéenne les désignant comme conseillers de la délégation de Guinée-Bissau auprès de l’UNESCO, basée à Paris. La présidence et la ministre Susy Barbosa ignorent elles ce deal au cœur de Paris ?
Ce qui a mis la puce à l’oreille des espions français, c’est le projet d’ouverture d’un consulat honoraire guinéen en Seine et Marne, aux alentours de la capitale française, par un ancien policier qui avait été radié de la fonction publique et qui aurait détruit des preuves concernant une très haute autorité Bissau guinéenne.
Les autorités françaises s’étaient opposées à l’ouverture de ce Consulat au motif que cela pourrait permettre à l’intéressé d’obtenir une immunité appropriée.
Être titulaire d’un passeport diplomatique ne garantit toutefois aucune immunité diplomatique, souligne le ministère français des affaires étrangères qui doit instruire en dernier ressort un dossier relatif à l’accréditation du diplomate. Néanmoins, les titulaires de passeports diplomatiques accompagnés de lettres de mission, bénéficient de prérogatives plus étendues.
Cheikh Saadbou DIARRA https://atlanticactu.com/
Selon Libération, les prix pouvaient même atteindre 200 000 euros en fonction du pédigrée du demandeur, mais en moyenne, le document coûtait 50 000 payés en espèces. Le commerce juteux de ce document très prisé aurait le soutien des autorités Bissau guinéennes depuis que l’Union Européenne avait mie en garde les gouvernements de nombreux pays sur la délivrance de passeports diplomatiques.
Plusieurs gouvernements africains étains fichés au Quai d’Orsay et au 141, Boulevard Mortier, siège de la DGSE comme des soutiens au Terrorisme et blanchiment de capitaux. Rapidement, Dakar avait opté pour le changement de version des passeports diplomatiques
Pourtant, depuis plusieurs mois les services de renseignements français avaient tiré sur la sonnette d’alarme. Allant même jusqu’à créer un incident diplomatique en filant dans Paris le « général » Umaru Embalò président de la Guinée Bissau. Les espions français avaient découvert les locaux situés dans le sous-sol d’un immeuble chic près des Champs Elysées où les candidats se rendaient pour été faire établir le document. Bizarrement, ces locaux n’étaient pas éloignés du palace parisien où le « général » prenait ses quartiers auparavant.
Mieux, les renseignements français ont réussi à identifier l’homme qui s’occupe décès affaires. Ce homme d’affaires répondant au surnom de Rubens, est de nationalité malienne et, lié à la franc-maçonnerie. L’homme qui fréquente le milieu interlope est pourtant bien connu des services de police de l’Hexagone et à travers son commerce, Rubens délivre des passeports diplomatiques qui permettent à certains délinquants de passer librement les contrôles dans les aéroports.
C’est le cas d’une personne condamnée à 3 ans de prison effective pour commerce illicite d’armes de guerre, kalachnikov et lance-roquettes, une affaire qu’il maintenait depuis sa cellule à Nanterre, banlieue de Paris. Depuis l’homme titulaire d’un passeport diplomatique Bissau guinéen voyage à sa guise dans différents pays.
Certains détenteurs de passeports circulent avec une lettre d’une ministre guinéenne les désignant comme conseillers de la délégation de Guinée-Bissau auprès de l’UNESCO, basée à Paris. La présidence et la ministre Susy Barbosa ignorent elles ce deal au cœur de Paris ?
Ce qui a mis la puce à l’oreille des espions français, c’est le projet d’ouverture d’un consulat honoraire guinéen en Seine et Marne, aux alentours de la capitale française, par un ancien policier qui avait été radié de la fonction publique et qui aurait détruit des preuves concernant une très haute autorité Bissau guinéenne.
Les autorités françaises s’étaient opposées à l’ouverture de ce Consulat au motif que cela pourrait permettre à l’intéressé d’obtenir une immunité appropriée.
Être titulaire d’un passeport diplomatique ne garantit toutefois aucune immunité diplomatique, souligne le ministère français des affaires étrangères qui doit instruire en dernier ressort un dossier relatif à l’accréditation du diplomate. Néanmoins, les titulaires de passeports diplomatiques accompagnés de lettres de mission, bénéficient de prérogatives plus étendues.
Cheikh Saadbou DIARRA https://atlanticactu.com/