C’est en 2001 que Fallou Badiane, dont les affaires commençaient à être florissantes, a remporté lors d’une vente, un terrain mis aux enchères par la mairie de Bissau. Juste à côté de la résidence de Suzi Barbosa, l’actuelle ministre des Affaires Étrangères. Et comme la loi bissau-guinéenne lui en fait obligation, depuis cette date, il s’acquitte de la taxe foncière de ce terrain, payée annuellement, après qu’il a pris le soin de le clôturer par un mur d’enceinte.
Mais, depuis l’arrivée du clan Embalò au pouvoir, c’est d’abord Inussa Balde, l’ancien secrétaire général de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie en Guinée-Bissau et actuel Secrétaire général de l’agence de gestion et coopération des ressources pétrolières, qui a voulu perpétrer un coup de force en s’emparant du site. Le tribunal de Bissau le désavoue à deux reprises.
Selon Luis Vaz Martins, l’un des avocats de Fallou Badiane, lors du dernier procès, Inussa Balde a menacé l’homme d’affaires de lui faire payer cher cet affront dans son propre pays. C’est contre toute attente que Denisia Reis Embalò, la Première Dame officielle, s’est invitée dans ce débat. « Donc la femme de Umaru Embalò, l’officielle, tout simplement, s’est déclarée propriétaire du terrain de l’homme d’affaires sénégalais très connu à Bissau, parce qu’étant le propriétaire de la chaîne de supermarchés Darling », selon les avocats de Fallou Badiane, qui constatent également que cette dernière y a fait déployer des militaires armés, empêchant leur client d’avoir accès à son terrain.
Malgré des décisions de justice en sa faveur, l’homme d’affaires sénégalais, propriétaire d’une chaîne de supermarchés à Bissau, est en train de perdre son terrain. L’ambassadeur du Sénégal comme les services consulaires, saisis par Fallou Badiane, évitent d’en parler, au risque d’offusquer l’épouse du « tout-puissant » ami du Président Macky Sall.
Mais il existe un fait anodin, ledit terrain tant convoité et dont la construction a démarré sous la surveillance des militaires, jouxte une résidence appartenant à Suzi Carla Barbosa, la ministre des Affaires étrangères. Pour quelles raisons la Première Dame Denisia Reis Embalò voudrait-elle aller contre des décisions de justice, en construisant sur un terrain appartenant à autrui ? Pourquoi ce silence du « général », actuellement en très mauvaise posture depuis l’éclatement du scandale du mystérieux Airbus et de la signature illégale d’un accord de partage des ressources pétrolières avec le Sénégal ?
Pour rappel, au début de cet imbroglio, la justice a tranché deux fois en faveur de Fallou Badiane. Après les vaines tentatives de Inussa Balde, l’actuel Secrétaire général de l’Agence de coopération et de gestion, c’est l’épouse de Umaru Embalò qui abuse des droits de l’homme d’affaires. Les avocats de Fallou Badiane ont tenu une conférence de presse le 28 décembre dernier. Conférence au cours de laquelle, Luis Vaz Martins et Alex Bassucko ont tenu à informer l’opinion publique nationale et internationale, sur ce nouvel abus du régime du « général » Embaló contre un citoyen bissau-guinéen d’origine sénégalaise.
Mais, depuis l’arrivée du clan Embalò au pouvoir, c’est d’abord Inussa Balde, l’ancien secrétaire général de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie en Guinée-Bissau et actuel Secrétaire général de l’agence de gestion et coopération des ressources pétrolières, qui a voulu perpétrer un coup de force en s’emparant du site. Le tribunal de Bissau le désavoue à deux reprises.
Selon Luis Vaz Martins, l’un des avocats de Fallou Badiane, lors du dernier procès, Inussa Balde a menacé l’homme d’affaires de lui faire payer cher cet affront dans son propre pays. C’est contre toute attente que Denisia Reis Embalò, la Première Dame officielle, s’est invitée dans ce débat. « Donc la femme de Umaru Embalò, l’officielle, tout simplement, s’est déclarée propriétaire du terrain de l’homme d’affaires sénégalais très connu à Bissau, parce qu’étant le propriétaire de la chaîne de supermarchés Darling », selon les avocats de Fallou Badiane, qui constatent également que cette dernière y a fait déployer des militaires armés, empêchant leur client d’avoir accès à son terrain.
Malgré des décisions de justice en sa faveur, l’homme d’affaires sénégalais, propriétaire d’une chaîne de supermarchés à Bissau, est en train de perdre son terrain. L’ambassadeur du Sénégal comme les services consulaires, saisis par Fallou Badiane, évitent d’en parler, au risque d’offusquer l’épouse du « tout-puissant » ami du Président Macky Sall.
Mais il existe un fait anodin, ledit terrain tant convoité et dont la construction a démarré sous la surveillance des militaires, jouxte une résidence appartenant à Suzi Carla Barbosa, la ministre des Affaires étrangères. Pour quelles raisons la Première Dame Denisia Reis Embalò voudrait-elle aller contre des décisions de justice, en construisant sur un terrain appartenant à autrui ? Pourquoi ce silence du « général », actuellement en très mauvaise posture depuis l’éclatement du scandale du mystérieux Airbus et de la signature illégale d’un accord de partage des ressources pétrolières avec le Sénégal ?
Pour rappel, au début de cet imbroglio, la justice a tranché deux fois en faveur de Fallou Badiane. Après les vaines tentatives de Inussa Balde, l’actuel Secrétaire général de l’Agence de coopération et de gestion, c’est l’épouse de Umaru Embalò qui abuse des droits de l’homme d’affaires. Les avocats de Fallou Badiane ont tenu une conférence de presse le 28 décembre dernier. Conférence au cours de laquelle, Luis Vaz Martins et Alex Bassucko ont tenu à informer l’opinion publique nationale et internationale, sur ce nouvel abus du régime du « général » Embaló contre un citoyen bissau-guinéen d’origine sénégalaise.