Le fait est rare pour mériter d'être souligné. La Cour suprême bissau-guinéenne s’est prononcée ce lundi 07 septembre sur le recours déposé par le candidat du PAIGC pour faire annuler les résultats du second tour de la présidentielle pour irrégularités.
Après la proclamation des résultats par la Commission nationale électorale, Domingos Simoes Pereira dont la candidature était portée par le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap Vert, a contesté le verdict des urnes tout en accusant son adversaire d’avoir triché pour gagner les élections.
S’en sont suivis plusieurs recours auprès de la Cour suprême qui, à chaque fois a demandé un recomptage des votes à la CNE qui, rendant sa décision à trois reprises, a confirmé la victoire d’Embalo avec 53,55% des voix exprimées.
En considérant le énième recours du PAIGC « non fondé », la juridiction suprême semble ainsi clore le débat définitivement.
En tout cas, pour le camp d’Embalo, en rendant cette décision, la Cour suprême appelée suprême tribunal de justice (STJ) reconnait la victoire de l’ancien Premier ministre.
Après la proclamation des résultats par la Commission nationale électorale, Domingos Simoes Pereira dont la candidature était portée par le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap Vert, a contesté le verdict des urnes tout en accusant son adversaire d’avoir triché pour gagner les élections.
S’en sont suivis plusieurs recours auprès de la Cour suprême qui, à chaque fois a demandé un recomptage des votes à la CNE qui, rendant sa décision à trois reprises, a confirmé la victoire d’Embalo avec 53,55% des voix exprimées.
En considérant le énième recours du PAIGC « non fondé », la juridiction suprême semble ainsi clore le débat définitivement.
En tout cas, pour le camp d’Embalo, en rendant cette décision, la Cour suprême appelée suprême tribunal de justice (STJ) reconnait la victoire de l’ancien Premier ministre.