Le président américain avait déjà parlé de son homologue russe comme d'un "criminel de guerre" mercredi, du fait de l'invasion russe de l'Ukraine.
Joe Biden hausse une nouvelle fois le ton contre son homologue russe, trois semaines après le début de l'invasion de l'Ukraine. Le président américain a qualifié Vladimir Poutine de "dictateur meurtrier" et de "pur voyou", jeudi 17 mars, lors du "Déjeuner des amis de l'Irlande" organisé par la présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, à Washington.
Le dirigeant américain avait pour la première fois qualifié le président russe de "criminel de guerre", merci, en réponse à la question d'une journaliste. "Le président parlait avec son cœur et à partir de ce que vous avez vu à la télévision, c'est-à -dire les actions barbares d'un dictateur brutal", avait par la suite déclaré sa porte-parole, Jen Psaki. Elle a précisé qu'une "procédure juridique [était] toujours en cours au département d'Etat" concernant une qualification légale de "crimes de guerre" commis par la Russie en Ukraine.
Aucun responsable américain n'avait jusqu'à présent utilisé publiquement les termes "criminel de guerre" ou "crimes de guerre", au contraire d'autres Etats ou organisations internationales. "Nous considérons comme inacceptable et impardonnable une telle rhétorique du chef de l'Etat, dont les bombes ont tué des centaines de milliers de personnes dans le monde entier", avait réagi mercredi le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, cité par les agences Tass et RIA Novosti. Rapporte Vipeoples .
Joe Biden hausse une nouvelle fois le ton contre son homologue russe, trois semaines après le début de l'invasion de l'Ukraine. Le président américain a qualifié Vladimir Poutine de "dictateur meurtrier" et de "pur voyou", jeudi 17 mars, lors du "Déjeuner des amis de l'Irlande" organisé par la présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, à Washington.
Le dirigeant américain avait pour la première fois qualifié le président russe de "criminel de guerre", merci, en réponse à la question d'une journaliste. "Le président parlait avec son cœur et à partir de ce que vous avez vu à la télévision, c'est-à -dire les actions barbares d'un dictateur brutal", avait par la suite déclaré sa porte-parole, Jen Psaki. Elle a précisé qu'une "procédure juridique [était] toujours en cours au département d'Etat" concernant une qualification légale de "crimes de guerre" commis par la Russie en Ukraine.
Aucun responsable américain n'avait jusqu'à présent utilisé publiquement les termes "criminel de guerre" ou "crimes de guerre", au contraire d'autres Etats ou organisations internationales. "Nous considérons comme inacceptable et impardonnable une telle rhétorique du chef de l'Etat, dont les bombes ont tué des centaines de milliers de personnes dans le monde entier", avait réagi mercredi le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, cité par les agences Tass et RIA Novosti. Rapporte Vipeoples .