Âgé de 23 ans, le charretier Kébé séjourne en prison suite à une plainte déposée contre lui pour une scandaleuse affaire de mœurs commise sur des écolières âgées entre 9 et 14 ans.
Il a été démasqué, selon des sources de "L’Observateur", par «sa dernière victime, une mineure de 14 ans du nom de Nd. C.» Celle-ci qui avait été victime de «défloraison vaginale, souffrait de sérieuses blessures aux parties intimes».
L’enquête préliminaire a permis d’en savoir davantage sur cette rageante affaire de mœurs. Selon des sources concordantes, le présumé pédophile qui vit au domicile familial situé non loin de l’école «Baraque», gérait un business de location de chaises et de bâches.
Ce commerce facile a permis au jeune originaire de la région de Louga, d’entretenir une proximité suspecte avec des gamines du coin et dudit établissement scolaire, qui venaient chez lui pour se désaltérer.
L’éclatement de l’affaire fait suite une banale discussion entre 5 potaches de ladite école primaire. Ces gamines qui discutaient des moments d’intimité entre le charretier M. Kébé et l’une d’elles est surprise par la mère d'une autre d'entre d’elles, rapporte Senenews.
La dame n’en croyait pas ses oreilles. Elle manquera de tomber des nues, lorsque les gamines expliquent que le charretier profitait des moments où elles venaient chez lui se désaltérer, pour les aborder en leur offrant des pièces d’argent.
Puis, subtilement, il les entraînait dans sa chambre à l’insu des occupants de la maison. Certaines fillettes confieront qu’il les menaçait à l’aide d’un couteau dans l’intimité de sa chambre.
Puis, elle précisent que ce dernier les déshabillait et frottait son sexe contre elles jusqu’à satisfaire sa libido. Les fillettes suspectées sont ainsi recensées et identifiées comme suit : M. K. L. (11 ans) – A. D. (9 ans) et N. F. D. (10 ans).
Au nombre de trois, elles ont été ainsi conduites en consultation auprès d’un gynécologue. Les résultats des examens qui relèvent des suspicions d’abus sexuels, écartent toute perte d’hymen chez les patientes mineures.
Recherché, M. Kébé est appréhendé sur sa charrette, le 11 mars dernier. Mis devant les faits, il a réfuté les abus sexuels, mais avoue qu’il recevait les fillettes chez lui pour leur offrir à boire et parfois de l’argent.
Son moyen de défense sera anéanti par l’irruption au commissariat d’une mère de famille tenant sa fille de 14 ans. La gamine dénommée, Nd. C., regardant dans le blanc des yeux le mis en cause, va l’accuser de l’avoir abusée sexuellement à deux reprises.
Pour en avoir le cœur net, la 4e présumée victime est conduite en consultation à l’hôpital Roi Baudouin de Guédiawaye. Dans ces conclusions, le gynécologue conclut à une «déchirure hyménale ancienne» de la fillette.
Après avoir bouclé l’enquête sur la dizaine de victimes présumées, les limiers de Guédiawaye ont présenté le charretier M. Kébé au parquet du tribunal de Guédiawaye, pour pédophilie, attentats à la pudeur avec violence, viol sur mineures.
Il a été démasqué, selon des sources de "L’Observateur", par «sa dernière victime, une mineure de 14 ans du nom de Nd. C.» Celle-ci qui avait été victime de «défloraison vaginale, souffrait de sérieuses blessures aux parties intimes».
L’enquête préliminaire a permis d’en savoir davantage sur cette rageante affaire de mœurs. Selon des sources concordantes, le présumé pédophile qui vit au domicile familial situé non loin de l’école «Baraque», gérait un business de location de chaises et de bâches.
Ce commerce facile a permis au jeune originaire de la région de Louga, d’entretenir une proximité suspecte avec des gamines du coin et dudit établissement scolaire, qui venaient chez lui pour se désaltérer.
L’éclatement de l’affaire fait suite une banale discussion entre 5 potaches de ladite école primaire. Ces gamines qui discutaient des moments d’intimité entre le charretier M. Kébé et l’une d’elles est surprise par la mère d'une autre d'entre d’elles, rapporte Senenews.
La dame n’en croyait pas ses oreilles. Elle manquera de tomber des nues, lorsque les gamines expliquent que le charretier profitait des moments où elles venaient chez lui se désaltérer, pour les aborder en leur offrant des pièces d’argent.
Puis, subtilement, il les entraînait dans sa chambre à l’insu des occupants de la maison. Certaines fillettes confieront qu’il les menaçait à l’aide d’un couteau dans l’intimité de sa chambre.
Puis, elle précisent que ce dernier les déshabillait et frottait son sexe contre elles jusqu’à satisfaire sa libido. Les fillettes suspectées sont ainsi recensées et identifiées comme suit : M. K. L. (11 ans) – A. D. (9 ans) et N. F. D. (10 ans).
Au nombre de trois, elles ont été ainsi conduites en consultation auprès d’un gynécologue. Les résultats des examens qui relèvent des suspicions d’abus sexuels, écartent toute perte d’hymen chez les patientes mineures.
Recherché, M. Kébé est appréhendé sur sa charrette, le 11 mars dernier. Mis devant les faits, il a réfuté les abus sexuels, mais avoue qu’il recevait les fillettes chez lui pour leur offrir à boire et parfois de l’argent.
Son moyen de défense sera anéanti par l’irruption au commissariat d’une mère de famille tenant sa fille de 14 ans. La gamine dénommée, Nd. C., regardant dans le blanc des yeux le mis en cause, va l’accuser de l’avoir abusée sexuellement à deux reprises.
Pour en avoir le cœur net, la 4e présumée victime est conduite en consultation à l’hôpital Roi Baudouin de Guédiawaye. Dans ces conclusions, le gynécologue conclut à une «déchirure hyménale ancienne» de la fillette.
Après avoir bouclé l’enquête sur la dizaine de victimes présumées, les limiers de Guédiawaye ont présenté le charretier M. Kébé au parquet du tribunal de Guédiawaye, pour pédophilie, attentats à la pudeur avec violence, viol sur mineures.