Des blessés graves ont été constatés. Beaucoup ont été évacués à l’hôpital Dalal Jaam de Guédiawaye. Ces groupes d’agresseurs, pour la plupart dénommés “simol”, foisonnent durant les matchs de “navétanes” et les combats de lutte.
Les populations, impuissantes face à cette situation, dénoncent l’insécurité dans la zone et l’inertie de la police.