L’on comprend pourquoi Karim s’est montré sous ses grands jours lors de la visite que des responsables du Parti démocratique sénégalais (Pds) lui ont rendu en prison. A ses hôtes, selon nos sources, Karim s’est exclamé en disant qu’il ne reste plus grands chose dans les accusations formulées à son encontre. « Il ne reste plus que les voitures que m’ont offertes le roi du Maroc et l’Emir du Koweït ». En effet, Alioune N’dao, procureur spécial près de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) et Cie viennent de « se planter » de nouveau dans le dossier des sociétés présumées appartenir à l’ancien ministre d’Etat Karim Wade et placées sous administration provisoire.
En effet, selon Libération, Abs, la société chargée du transport des voyageurs arrivant ou partant de l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar a été placée sous administration provisoire tout comme le Dubaï Port World et Aviation Handling Services (Ahs). Cependant, la grosse bourde est que l’administrateur désigné par la Crei, en l’occurrence Bécaye Sène est à la retraite depuis quelques années. Pour ne pas dire qu’il n’exerce plus. Par ailleurs, ce même Bécaye Sène, patron du cabinet du même nom chargé de l’Administration provisoire, avait été condamné par la Crei sous Abdou Diouf.
Et dans ces conditions, Karim Wade se rapproche de la liberté, car les charges qui pèsent sur lui sont en train de s’effriter de jour en jour. Une obligation pour le procureur spécial qui est en train de mordre la poussière dans un dossier très complexe.
En effet, selon Libération, Abs, la société chargée du transport des voyageurs arrivant ou partant de l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar a été placée sous administration provisoire tout comme le Dubaï Port World et Aviation Handling Services (Ahs). Cependant, la grosse bourde est que l’administrateur désigné par la Crei, en l’occurrence Bécaye Sène est à la retraite depuis quelques années. Pour ne pas dire qu’il n’exerce plus. Par ailleurs, ce même Bécaye Sène, patron du cabinet du même nom chargé de l’Administration provisoire, avait été condamné par la Crei sous Abdou Diouf.
Et dans ces conditions, Karim Wade se rapproche de la liberté, car les charges qui pèsent sur lui sont en train de s’effriter de jour en jour. Une obligation pour le procureur spécial qui est en train de mordre la poussière dans un dossier très complexe.