Les travailleurs de la Compagnie Sucrière Sénégalaise (CSS) sont en colère. Ceux qu'on appelle saisonniers dans cette entreprise ont d'ailleurs élevé le ton en ce jour du nouvel An. Dakarposte, qui a ses radars partout est en mesure de révéler que pour la résolution des problèmes sociaux auxquels ils sont confrontés, ils exigent l’implication personnelle du Président Directeur général Jean Claude Mimran. Révélations!
Grogne à la CSS! La vérité sur ce que réclame le personnel de... 2000 saisonniers
A la CSS, plus rien ne va. En cause, les 2000 saisonniers râlent depuis 24 heures. En cause? Dakarposte tient qu'ils dénoncent le non respect des engagements pris par les responsables de l'entreprise qui, lors d’une rencontre avec eux avaient dit qu’ils mettront un point d’honneur à l’amélioration des conditions de vie et de travail des saisonniers.
Selon Gningue (leur porte parole), les "patrons avaient promis un meilleur traitement dans nos revenus". A l'en croire, ceux qu'ils appellent "patrons" avaient promis 3 400 cfa/jour. "Mais, nous sommes maintenus à des revenus dérisoires.Aujourd’hui, force est de constater que ce n’était que du leurre"
A tous ces griefs s’ajoutent, dira t'il, la disparité constatée dans le traitement salarial entre travailleurs; compte non tenu d'autres complaintes.
Pour Gningue, la seule personne qui pourrait apporter une solution à ce climat tendu qui prévaut à la CSS reste et demeure le Pdg Mimran que les travailleurs souhaitent rencontrer vivement.
Grogne à la CSS! La vérité sur ce que réclame le personnel de... 2000 saisonniers
A la CSS, plus rien ne va. En cause, les 2000 saisonniers râlent depuis 24 heures. En cause? Dakarposte tient qu'ils dénoncent le non respect des engagements pris par les responsables de l'entreprise qui, lors d’une rencontre avec eux avaient dit qu’ils mettront un point d’honneur à l’amélioration des conditions de vie et de travail des saisonniers.
Selon Gningue (leur porte parole), les "patrons avaient promis un meilleur traitement dans nos revenus". A l'en croire, ceux qu'ils appellent "patrons" avaient promis 3 400 cfa/jour. "Mais, nous sommes maintenus à des revenus dérisoires.Aujourd’hui, force est de constater que ce n’était que du leurre"
A tous ces griefs s’ajoutent, dira t'il, la disparité constatée dans le traitement salarial entre travailleurs; compte non tenu d'autres complaintes.
Pour Gningue, la seule personne qui pourrait apporter une solution à ce climat tendu qui prévaut à la CSS reste et demeure le Pdg Mimran que les travailleurs souhaitent rencontrer vivement.