Les policiers en service dans la région de Ziguinchor sont en rogne. Ils réclament, depuis hier, le paiement intégral de leurs primes journalières. En effet, renseigne L’As, ces flics dénoncent le retard de ces sommes et des arriérés de salaires. Ils ont haussé le ton pour recevoir leur argent avant la fête de la Tabaski prévue le 12 septembre.
Selon le journal, tous les éléments des corps militaires et paramilitaires en service en Casamance bénéficient d’une prime journalière de deux mille cinq cent francs (2500 FCfa), payée au terme de 6 mois de service.
Mais, soulignent nos confrères, le paiement de cet argent accuse souvent du retard. Une situation que déplorent les flics qui dénoncent la lenteur et la lourdeur administratives puisqu'ils courent, depuis des mois, derrière cette somme. « Chaque fois, c’est le même discours, on nous parle de problème de trésorerie. Et nous sommes très fatigués à chaque fois d’attendre ou de faire des va-et-vient pour percevoir notre argent », dénonce un agent.
Le chargé des relations publiques de la Police nationale a tenu à les rassurer. D’après l’adjudant Henry Boumi Ciss, le retard n’est pas imputable aux autorités policières. « Il y a eu un léger retard au niveau des services financiers, mais le trésor a déjà déposé l’argent au niveau des banques et les agents devraient rentrer dans leur fonds avant la Tabaski », assure-t-il
Selon le journal, tous les éléments des corps militaires et paramilitaires en service en Casamance bénéficient d’une prime journalière de deux mille cinq cent francs (2500 FCfa), payée au terme de 6 mois de service.
Mais, soulignent nos confrères, le paiement de cet argent accuse souvent du retard. Une situation que déplorent les flics qui dénoncent la lenteur et la lourdeur administratives puisqu'ils courent, depuis des mois, derrière cette somme. « Chaque fois, c’est le même discours, on nous parle de problème de trésorerie. Et nous sommes très fatigués à chaque fois d’attendre ou de faire des va-et-vient pour percevoir notre argent », dénonce un agent.
Le chargé des relations publiques de la Police nationale a tenu à les rassurer. D’après l’adjudant Henry Boumi Ciss, le retard n’est pas imputable aux autorités policières. « Il y a eu un léger retard au niveau des services financiers, mais le trésor a déjà déposé l’argent au niveau des banques et les agents devraient rentrer dans leur fonds avant la Tabaski », assure-t-il