Des bus aux autocars (Ndiaga-Ndiaye, Cars rapides, minicars), en passant par des taxis, taxis-clandos, motos-taxis «thiak-thiak», plusieurs moyens de locomotion étaient à la disposition des usagers. Même si des difficultés de mobilité ont été notées les premières heures de la matinée. Cela est dû, selon des usagers, au fait que certains transporteurs avaient peur que leurs véhicules ne soient caillasses, comme ce fut le cas lors de la dernière grève où ceux qui n’avaient pas suivi le mot d’ordre avaient été la cible de «brigades» déployées par les syndicalistes pour imposer l’arrêt de tous les cars.
Mieux, le dispositif sécuritaire impressionnant surtout de la Gendarmerie qui a jalonné les différents axes routiers où le trafic est très dense, notamment de Keur Massar à Poste Thiaroye, a fini par encourager plusieurs chauffeurs et transporteurs remettre leurs cars dans la circulation, pour le transport des personnes et de leurs biens.
Aussi des fourgonnettes avec des éléments en bleu pré-positionnés en face de la gare routière des «Ndiaga-Ndiaye» de Keur Massar, sous le nouvel autopont et sous les ponts du croisement de Keur Massar et de Poste Thiaroye, constituaient des assurances pour nombre de transporteurs qui craignaient des actes de vandalisme, en cas de mise en circulation de leurs véhicules de transports.
En plus du transport de masse avec le Train express régional (Ter), la société de transport public, Dakar Dem Dikk (DDD) a lancé les rares bus encore au dépôt en circulation.
«Ce genre de situation devrait servir de leçon aux autorités pour renforcer le parc de Dakar Dem Dikk. Il y a plus de sécurité, avec des conducteurs, receveurs et contrôleurs biens, formés et c’est moins cher. S’il y a assez de bus, les grèves des transporteurs du privé ne réussiront jamais», constate un usager à bord d’une ligne de bus DDD Keur Massar Patte d’Oie, moyennant 250 F CFA, lancée pour l’occasion et passe directement par l’autoroute à péage.
En complément de celle express assurant la navette Keur Massar-Colobane-Dakar, via le péage, pour le même tarif. Même si aucun car NdiagaNdiaye n’a quitté officiellement la gare routière de Keur Massar (gérée par le syndicaliste Gora Khouma) pour Dakar et les autres destinations desservies habituellement, force est remarquer qu’au finish, les usagers n’avaient pas trop de difficultés pour vaquer à leurs occupations.
L’apport des lignes Tata, des taxis, taxis-clandos, minicars, et mêmes des particuliers qui n’hésitaient à prendre des personnes allant dans le sens de leurs destinations (gratuitement ou moyennant 250 à 500 ou 1000 F CFA, c’est selon) a largement contribué à contrer l’impact de la grève. Au grand bonheur des populations, particulièrement des usagers des transports en commun.
Sud quotidien
Mieux, le dispositif sécuritaire impressionnant surtout de la Gendarmerie qui a jalonné les différents axes routiers où le trafic est très dense, notamment de Keur Massar à Poste Thiaroye, a fini par encourager plusieurs chauffeurs et transporteurs remettre leurs cars dans la circulation, pour le transport des personnes et de leurs biens.
Aussi des fourgonnettes avec des éléments en bleu pré-positionnés en face de la gare routière des «Ndiaga-Ndiaye» de Keur Massar, sous le nouvel autopont et sous les ponts du croisement de Keur Massar et de Poste Thiaroye, constituaient des assurances pour nombre de transporteurs qui craignaient des actes de vandalisme, en cas de mise en circulation de leurs véhicules de transports.
En plus du transport de masse avec le Train express régional (Ter), la société de transport public, Dakar Dem Dikk (DDD) a lancé les rares bus encore au dépôt en circulation.
«Ce genre de situation devrait servir de leçon aux autorités pour renforcer le parc de Dakar Dem Dikk. Il y a plus de sécurité, avec des conducteurs, receveurs et contrôleurs biens, formés et c’est moins cher. S’il y a assez de bus, les grèves des transporteurs du privé ne réussiront jamais», constate un usager à bord d’une ligne de bus DDD Keur Massar Patte d’Oie, moyennant 250 F CFA, lancée pour l’occasion et passe directement par l’autoroute à péage.
En complément de celle express assurant la navette Keur Massar-Colobane-Dakar, via le péage, pour le même tarif. Même si aucun car NdiagaNdiaye n’a quitté officiellement la gare routière de Keur Massar (gérée par le syndicaliste Gora Khouma) pour Dakar et les autres destinations desservies habituellement, force est remarquer qu’au finish, les usagers n’avaient pas trop de difficultés pour vaquer à leurs occupations.
L’apport des lignes Tata, des taxis, taxis-clandos, minicars, et mêmes des particuliers qui n’hésitaient à prendre des personnes allant dans le sens de leurs destinations (gratuitement ou moyennant 250 à 500 ou 1000 F CFA, c’est selon) a largement contribué à contrer l’impact de la grève. Au grand bonheur des populations, particulièrement des usagers des transports en commun.
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