C’est le contraire de ce qu’on avait l’habitude de voir à la Gare routière de Fatick, qui grouillait de monde. Seuls certains transporteurs, qui veillent au respect du mot d’ordre, sont présents sur les lieux. Même les vendeurs, les restauratrices et autres ont fermé boutique.
A part quelques véhicules immobilisés dont certains en panne, aucun autre n’a franchi le seuil de la gare. Plus que jamais déterminés pour que l’Etat revienne sur les 22 mesures qu’ils jugent pléthoriques, les chauffeurs ne comptent pas baisser les bras. Selon eux, ces décisions ne vont guère diminuer les accidents.
Le président du Regroupement des chauffeurs de la Gare routière de Fatick, Pape Guèye, interrogé sur leur mouvement d’humeur, confirme «la poursuite de la grève jusqu’à nouvel ordre».
Comme toujours, à chaque fois qu’il y a grève, ce sont les passagers qui paient les pots cassés.
«Je dois me rendre à Dakar, j’ai un rendez-vous médical. Les chauffeurs doivent penser aux usagers lorsqu’ils décrètent des mouvements de grève», se désole M. Diop. Une situation difficile qu’ils sont obligés de supporter par manque de choix, jusqu’à ce que les grévistes et le gouvernement trouvent un terrain d’entente.
A part quelques véhicules immobilisés dont certains en panne, aucun autre n’a franchi le seuil de la gare. Plus que jamais déterminés pour que l’Etat revienne sur les 22 mesures qu’ils jugent pléthoriques, les chauffeurs ne comptent pas baisser les bras. Selon eux, ces décisions ne vont guère diminuer les accidents.
Le président du Regroupement des chauffeurs de la Gare routière de Fatick, Pape Guèye, interrogé sur leur mouvement d’humeur, confirme «la poursuite de la grève jusqu’à nouvel ordre».
Comme toujours, à chaque fois qu’il y a grève, ce sont les passagers qui paient les pots cassés.
«Je dois me rendre à Dakar, j’ai un rendez-vous médical. Les chauffeurs doivent penser aux usagers lorsqu’ils décrètent des mouvements de grève», se désole M. Diop. Une situation difficile qu’ils sont obligés de supporter par manque de choix, jusqu’à ce que les grévistes et le gouvernement trouvent un terrain d’entente.