Pour cause : la non application des accords contenus dans la plateforme minimale que sont, entre autres, l’organisation d’élection de représentativité des syndicats du secteur de la santé et de l’action sociale, la signature du décret portant statut du personnel des établissements publics de santé, (Eps), la modification du décret portant répartition de l’enveloppe des travaux pour heures supplémentaires ainsi que leur paiement intégrale aux contractuel, le parachèvement du texte organisant le système de rémunération des directeurs des Eps, le statut des présidents du conseil d’administration, le recrutement des agents de santé communautaires (Asc) ainsi que l’octroi de prêt Dmc aux contractuels du Cdi.
Selon M. Guèye, « la volonté manifeste du gouvernement de garder le statu quo est la preuve tangible qu’il n’entend pas y répondre. Et sur ce, nous allons continuer la lutte jusqu’à la satisfaction totale de nos points de revendication ».
Parlant du 4ème plan d’actions, il annonce une « grève de 48 heures les mardi 16 et mercredi 17 juin sur toute l’étendue du territoire national avec un respect des urgences et du service minimum, une assemblée générale de région suivies d’un point de presse, et une évaluation au soir du 17 juin ». Par ailleurs, il a demandé à ses camarades de maintenir le cap, en dépit des menaces du service administration et finance (Saf).
Selon M. Guèye, « la volonté manifeste du gouvernement de garder le statu quo est la preuve tangible qu’il n’entend pas y répondre. Et sur ce, nous allons continuer la lutte jusqu’à la satisfaction totale de nos points de revendication ».
Parlant du 4ème plan d’actions, il annonce une « grève de 48 heures les mardi 16 et mercredi 17 juin sur toute l’étendue du territoire national avec un respect des urgences et du service minimum, une assemblée générale de région suivies d’un point de presse, et une évaluation au soir du 17 juin ». Par ailleurs, il a demandé à ses camarades de maintenir le cap, en dépit des menaces du service administration et finance (Saf).