«En dépit de la mesure de hausse généralisée des salaires dans le privé en vigueur depuis le 1er juillet et de l’arrêté d’extension, la direction de 2AS (Aéroport international Blaise Diagne assistance service) s’arroge le droit d’un refus catégorique. Sa justification repose sur l’avis personnel de l’inspecteur régional du Travail de Thiès», souligne le Suttaaas.
Les syndicalistes notent toutefois que l’inspecteur du travail en question, exprime un simple avis et «n’a pas qualité et compétence d’un juge du travail pour trancher un différend de cette nature». Disant s’opposer fermement à cette décision, qui remet en cause la mesure d’extension signée par le ministre du Travail, le Suttaaas laisse entendre que la direction se défausse sur le ministère de tutelle, pour ne pas satisfaire les satisfactions des travailleurs.
Des revendications parmi lesquelles figurent la confirmation de 95 agents en Cdi, le recrutement de 68 autres, ainsi que l’effectivité de l’indemnité de logement. «En prélude à la levée de notre préavis de grève des 7 et 8 juillet 2023, un accord avait été convenu et signé avec le ministre de tutelle, ne souffrant d’aucune ambiguïté dans son contenu (…).
La direction renvoie la responsabilité de la décision au ministère des Transports aériens et du développement des infrastructures aéroportuaires, à qui l’incidence financière a été transmise depuis le 4 octobre 2023», assurent les syndicalistes.
De leur point de vue, il apparaît clair que l’on refuse d’ouvrir les yeux sur la réalité de l’entreprise et de ses employés. Celle qui consiste à faire appliquer la loi et respecter un accord signé rudement obtenu, préalable à tout climat social apaisé.
Les syndicalistes notent toutefois que l’inspecteur du travail en question, exprime un simple avis et «n’a pas qualité et compétence d’un juge du travail pour trancher un différend de cette nature». Disant s’opposer fermement à cette décision, qui remet en cause la mesure d’extension signée par le ministre du Travail, le Suttaaas laisse entendre que la direction se défausse sur le ministère de tutelle, pour ne pas satisfaire les satisfactions des travailleurs.
Des revendications parmi lesquelles figurent la confirmation de 95 agents en Cdi, le recrutement de 68 autres, ainsi que l’effectivité de l’indemnité de logement. «En prélude à la levée de notre préavis de grève des 7 et 8 juillet 2023, un accord avait été convenu et signé avec le ministre de tutelle, ne souffrant d’aucune ambiguïté dans son contenu (…).
La direction renvoie la responsabilité de la décision au ministère des Transports aériens et du développement des infrastructures aéroportuaires, à qui l’incidence financière a été transmise depuis le 4 octobre 2023», assurent les syndicalistes.
De leur point de vue, il apparaît clair que l’on refuse d’ouvrir les yeux sur la réalité de l’entreprise et de ses employés. Celle qui consiste à faire appliquer la loi et respecter un accord signé rudement obtenu, préalable à tout climat social apaisé.