Le mouvement national des enseignants républicains évoque d’autres initiatives qui sont à l'actif du Gouvernement. Mais, plus grave encore, prévient-il, le champ lexical du texte cache mal la volonté de nuire politiquement, en ce sens qu'il passe sous silence tous ces efforts palpables, en cherchant à mettre en exergue des points, dont la réalisation obéit à un processus administratif, qui implique plusieurs Ministères.
C'est le cas par exemple de la situation des décisionnaires, dont le décret modifié fait le circuit des visas, tout comme la question de la formation des chargés de cours et des philosophes, est en passe d'être réglée par le Ministère de l'Education en rapport avec celui de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
La vérité est que certains membres de ces syndicats, en activistes politiques, veulent utiliser leur position pour amener des perturbations dans le secteur. Ce qui au vrai, ne déplairait pas à une certaine opposition en perte de vitesse.
Autant il suggère au Ministère de l'Education nationale de recevoir ces organisations, pour évaluer le processus de matérialisation des accords les concernant et ceci, conformément aux instructions pertinentes du Chef de l'Etat, qui a toujours encouragé le dialogue et la concertation avec le monde du travail, autant il demande à l'Etat, de rester ferme lorsqu'il s'agit de veiller à la sécurité des personnes et des biens.
Lorsque qu'un syndicat exige la libération de politiciens pris la main dans le sac, à travers des manifestations interdites, hors des revendications portant sur l’école, il perd toute crédibilité face à l'autorité et face à ses mandants. « Que ces politiciens encagoulés nous disent qu'elle est cette situation politique du pays qui devrait obliger la cessation des cours ? Et qu'ils disent aux Sénégalais, en quoi la détention d'enseignants pris dans des manifestations politiques interdites, est-elle illégale ? », s’interrogent les enseignants républicains.
Par ailleurs, ledit syndicat estime que l'école est plus sérieuse que toutes ces allégations infondées et peu convaincantes, pour déclencher UNE « ECOLE MORTE » comme ils le souhaitent. « Nous appelons ces syndicats à plus de responsabilité vis-à-vis de l'école sénégalaise. Nous invitons tous les enseignants du Moyen et du Secondaire, à aller demain à l'école, parce que c'est cela notre devoir, mieux, nous devons aller demain à l'école, pour un démenti cinglant du tableau noir que ces syndicats veulent présenter à l'opinion et qui ne correspond pas à la réalité de notre école d'aujourd'hui », conclut-il.
C'est le cas par exemple de la situation des décisionnaires, dont le décret modifié fait le circuit des visas, tout comme la question de la formation des chargés de cours et des philosophes, est en passe d'être réglée par le Ministère de l'Education en rapport avec celui de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
La vérité est que certains membres de ces syndicats, en activistes politiques, veulent utiliser leur position pour amener des perturbations dans le secteur. Ce qui au vrai, ne déplairait pas à une certaine opposition en perte de vitesse.
Autant il suggère au Ministère de l'Education nationale de recevoir ces organisations, pour évaluer le processus de matérialisation des accords les concernant et ceci, conformément aux instructions pertinentes du Chef de l'Etat, qui a toujours encouragé le dialogue et la concertation avec le monde du travail, autant il demande à l'Etat, de rester ferme lorsqu'il s'agit de veiller à la sécurité des personnes et des biens.
Lorsque qu'un syndicat exige la libération de politiciens pris la main dans le sac, à travers des manifestations interdites, hors des revendications portant sur l’école, il perd toute crédibilité face à l'autorité et face à ses mandants. « Que ces politiciens encagoulés nous disent qu'elle est cette situation politique du pays qui devrait obliger la cessation des cours ? Et qu'ils disent aux Sénégalais, en quoi la détention d'enseignants pris dans des manifestations politiques interdites, est-elle illégale ? », s’interrogent les enseignants républicains.
Par ailleurs, ledit syndicat estime que l'école est plus sérieuse que toutes ces allégations infondées et peu convaincantes, pour déclencher UNE « ECOLE MORTE » comme ils le souhaitent. « Nous appelons ces syndicats à plus de responsabilité vis-à-vis de l'école sénégalaise. Nous invitons tous les enseignants du Moyen et du Secondaire, à aller demain à l'école, parce que c'est cela notre devoir, mieux, nous devons aller demain à l'école, pour un démenti cinglant du tableau noir que ces syndicats veulent présenter à l'opinion et qui ne correspond pas à la réalité de notre école d'aujourd'hui », conclut-il.