L’Association de financement des transporteurs urbains (Aftu) promet de ne plus aller en grève et demande pardon à l’Etat. Et selon Mbaye Amar, vice-président de l’Aftu, l’erreur est humaine. Il confie qu’ils ont été piégés. Cette sortie de ladite association fait suite aux menaces de sanctions proférées par l’Etat du Sénégal, suite à la grève des transporteurs qui avait handicapé la population.
A cette effet, la peur se fait sentir à travers les nombreuses interventions de ces transporteurs, selon Le Quotidien. “L’Aftu n’a pas le droit d’aller en grève puisque l’Etat est un membre de droit plus puissant que les membres associés, il nous loue les véhicules et peut à tout moment les retirer. Sur les véhicules qui coûtent 35 millions, on ne paie que 23 millions donc on ne peut tourner le dos à l’Etat, notre principal bailleur“, confie M. Mbaye Amar.
“Par ma voix, nous demandons pardon à tous les Sénégalais, certains d’entre nous ont été piégés et ça ne se reproduira plus“, précise Malick Guèye porte-parole d’Aftu.
A cette effet, la peur se fait sentir à travers les nombreuses interventions de ces transporteurs, selon Le Quotidien. “L’Aftu n’a pas le droit d’aller en grève puisque l’Etat est un membre de droit plus puissant que les membres associés, il nous loue les véhicules et peut à tout moment les retirer. Sur les véhicules qui coûtent 35 millions, on ne paie que 23 millions donc on ne peut tourner le dos à l’Etat, notre principal bailleur“, confie M. Mbaye Amar.
“Par ma voix, nous demandons pardon à tous les Sénégalais, certains d’entre nous ont été piégés et ça ne se reproduira plus“, précise Malick Guèye porte-parole d’Aftu.