"Depuis la semaine dernière, on a vu circuler sur les réseaux sociaux des déclarations venant du Collectif des amicales des étudiants de l'Ucab appelant les étudiants à une grève de 72 heures et ensuite une grève illimitée sans préavis. Ils n'ont informé ni le président, ni les directeurs, ni les doyens, ni les responsables. Raison pour laquelle nous avons pris acte", déclare Yakhoba Badiane, Directeur de l'Ucab de Mbao.
Pour lui, des étudiants arabophones qui prônent le remplacement des universités francophones par celles arabophones ont influencé les pensionnaires de l'université Cheikh Ahmadou Bamba.
"Au début, pour nous, c'étaient de simples activités de jeunes étudiants qui veulent chercher l'amélioration de leurs conditions d'études. Par la suite, ça a un peu dégénéré. Ils sont passés par la presse pour donner de fausses informations qui tournent autour du retard de paiement des bourses, d'absence de logements sociaux, d'absence de restaurants et de surcharge de volumes horaires. L'Ucab a dégagé toutes ses responsabilités", précise-t-il au nom de Serigne Mame Mor Mbacké Mourtalla, président fondateur de cet institut privé d'enseignement supérieur professionnel.
La direction de l'Ucab a apporté des précisions sur les revendications des étudiants. "Pour ce qui concerne les bourses, ça incombe à l'État. C'est une responsabilité entière de l'État. Nous n'occupons que le traitement des listes. Et le retard de paiement des bourses est inévitable à cause du processus. Pour l'absence de logements sociaux, nous rappelons à tout le monde que nous sommes une université privée. Comment est-ce possible qu'une université de ce genre prenne en charge la restauration et le logement des étudiants. Pour les surcharges horaires, nous avons des étudiants arabophones qui ont souvent des difficultés en français et en anglais. C'est pour cela qu'on a mis en place des années préparatoires", explique le porte-parole de la direction.
Les étudiants grévistes risquent des sanctions administratives ou pédagogiques, d'après Yakhoba Badiane. Pour lui, personne ne peut empêcher l'Ucab de réaliser ses ambitions.
"Parfois, les sanctions sont obligatoires, parce que ça va nous permettre d'atteindre nos objectifs. Nous avons les moyens administratifs et pédagogiques de sanctionner ces étudiants, parce qu'ils n'ont pas le droit de faire grève. Les récidivistes seront punis", menace-t-il. Renseigne Le Grand Panel
Pour lui, des étudiants arabophones qui prônent le remplacement des universités francophones par celles arabophones ont influencé les pensionnaires de l'université Cheikh Ahmadou Bamba.
"Au début, pour nous, c'étaient de simples activités de jeunes étudiants qui veulent chercher l'amélioration de leurs conditions d'études. Par la suite, ça a un peu dégénéré. Ils sont passés par la presse pour donner de fausses informations qui tournent autour du retard de paiement des bourses, d'absence de logements sociaux, d'absence de restaurants et de surcharge de volumes horaires. L'Ucab a dégagé toutes ses responsabilités", précise-t-il au nom de Serigne Mame Mor Mbacké Mourtalla, président fondateur de cet institut privé d'enseignement supérieur professionnel.
La direction de l'Ucab a apporté des précisions sur les revendications des étudiants. "Pour ce qui concerne les bourses, ça incombe à l'État. C'est une responsabilité entière de l'État. Nous n'occupons que le traitement des listes. Et le retard de paiement des bourses est inévitable à cause du processus. Pour l'absence de logements sociaux, nous rappelons à tout le monde que nous sommes une université privée. Comment est-ce possible qu'une université de ce genre prenne en charge la restauration et le logement des étudiants. Pour les surcharges horaires, nous avons des étudiants arabophones qui ont souvent des difficultés en français et en anglais. C'est pour cela qu'on a mis en place des années préparatoires", explique le porte-parole de la direction.
Les étudiants grévistes risquent des sanctions administratives ou pédagogiques, d'après Yakhoba Badiane. Pour lui, personne ne peut empêcher l'Ucab de réaliser ses ambitions.
"Parfois, les sanctions sont obligatoires, parce que ça va nous permettre d'atteindre nos objectifs. Nous avons les moyens administratifs et pédagogiques de sanctionner ces étudiants, parce qu'ils n'ont pas le droit de faire grève. Les récidivistes seront punis", menace-t-il. Renseigne Le Grand Panel