Interpellé dimanche 27 août lors de son passage dans l’émission Objection de la radio Sudfm (privée) sur les conséquences au plan sanitaire de la grève de faim entamée par son leader, Ousmane Sonko, depuis 29 jours, Dialo Diop a précisé que c’est pour « marquer sa protestation contre l’arbitraire dont il est victime » qu’il a pris cette décision.
Car selon lui, « dans les conditions carcérales, la seule arme du citoyen, s’il est convaincu d’être dans son bon droit, c’est la grève de la faim ». Poursuivant son propos, Dialo Diop par ailleurs Docteur en Médecine et en Sciences Biologiques, et enseignant-chercheur en microbiologie retraité de la Faculté de médecine de l’UCAD à Dakar, n’a pas manqué de déplorer le refus des autorités de communiquer les « données cliniques » d’Ousmane Sonko même à son médecin traitant.
En effet, estimant qu’ils ne veulent pas prendre le « risque de compromettre la vie d’Ousmane Sonko », il a indiqué qu’un accès aux données clinques du leader de Pastef leur aurait permis d’évaluer son état actuel de santé.
« Je n’ai pas de données détaillées sur son état clinique. Il semble que son propre médecin traitant, le professeur Cissé non plus, n’a plus accès à lui. C’est ce que j’ai appris par la presse. Il est donc vraisemblablement entre les mains des médecins soit de l’Administration pénitentiaire, soit de l’hôpital militaire Principal, mais nous avons les informations par voie de presse que son état clinique qui serait alarmant ».
Toutefois, nonobstant cette situation, le vice-président du parti Pastef chargé du panafricanisme et des questions mémorielles a indiqué que les « modalités de la grève de la faim et sa durée dépendent des autorités et non de lui. Lui, il est dans une attitude d’autodéfense même s’il expose sa vie dans le long terme »
Sud quotidien
Car selon lui, « dans les conditions carcérales, la seule arme du citoyen, s’il est convaincu d’être dans son bon droit, c’est la grève de la faim ». Poursuivant son propos, Dialo Diop par ailleurs Docteur en Médecine et en Sciences Biologiques, et enseignant-chercheur en microbiologie retraité de la Faculté de médecine de l’UCAD à Dakar, n’a pas manqué de déplorer le refus des autorités de communiquer les « données cliniques » d’Ousmane Sonko même à son médecin traitant.
En effet, estimant qu’ils ne veulent pas prendre le « risque de compromettre la vie d’Ousmane Sonko », il a indiqué qu’un accès aux données clinques du leader de Pastef leur aurait permis d’évaluer son état actuel de santé.
« Je n’ai pas de données détaillées sur son état clinique. Il semble que son propre médecin traitant, le professeur Cissé non plus, n’a plus accès à lui. C’est ce que j’ai appris par la presse. Il est donc vraisemblablement entre les mains des médecins soit de l’Administration pénitentiaire, soit de l’hôpital militaire Principal, mais nous avons les informations par voie de presse que son état clinique qui serait alarmant ».
Toutefois, nonobstant cette situation, le vice-président du parti Pastef chargé du panafricanisme et des questions mémorielles a indiqué que les « modalités de la grève de la faim et sa durée dépendent des autorités et non de lui. Lui, il est dans une attitude d’autodéfense même s’il expose sa vie dans le long terme »
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