Le fait est rare pour être souligné. Jusque-là , ce sont les femmes qui comparaissent devant les chambres criminelles et autres juridictions pour infanticide. À 99%, ce sont elles qui commettent ce genre d’actes ignobles en abrégeant la vie de leur enfant qu’elles ont porté pendant neuf mois dans leur ventre.
Les raisons avancées pour justifier leurs actes sont multiples (pauvreté, honte, peur de jeter l’opprobre sur sa famille ou d’entacher sa réputation, ou encore rejet de leur partenaire). Mais, dans le cas d’espèce, il s’agit bien d’un père de famille qui a voulu mettre fin à la vie de son fils. Il a d’ailleurs été déféré au parquet pour tentative d’infanticide.
Selon «BÉS BI, Le Jour», tout a commencé avec un appel du service social de l’hôpital Albert Royer, où venait d’être évacué un nouveau-né de sexe masculin. Tout de suite après, les hommes du commissaire Thiam du Point E se sont déplacés sur les lieux pour s’enquérir de la situation.
Après un tête-à -tête avec le médecin, ce dernier a donné un rapport aux limiers. Lequel indique qu’ils ont reçu un nouveau-né qui avait été admis au centre de santé Nabil Choucair pour absorption d’un pesticide. Un produit qui avait été donné au bébé par son propre père qui soutient l’avoir confondu avec du miel.
En réalité, le mis en cause qui habite Grand-Yoff et qui est courtier de femmes de ménage avait connu la mère de l’enfant dans le cadre de son travail. Marié, il s’était entiché de la fille avec qui il a eu une relation amoureuse sanctionnée par une grossesse. Et le jour des faits, la mère de l’enfant qui devait voyager à Kaffrine, pour on ne sait quelle raison, n’a pas été installée dans la procédure.
Même si, devant les enquêteurs, la dame a été peu prolixe sur les raisons qui l’ont poussée à laisser son nouveau-né entre les mains de son père, il faut noter qu’après cet incident, la garde du bébé a été confiée à sa mère, le temps de boucler la procédure.
Sans doute, la jeune fille, victime d’une grossesse non-désirée et ne pouvant pas s’occuper du bébé, l’avait renvoyé à son père qui est déjà mariée. Et pour se débarrasser de cet enfant qui était devenu un fardeau pour lui, le père de famille n’avait rien trouvé de mieux à faire que de tenter de le tuer.
Finalement, le sieur El. H. Cissé a été le seul à être poursuivi pour tentative d’infanticide, même s’il a tenté en vain de prouver sa bonne foi en soutenant qu’il n’a jamais voulu attenter à la vie de son fils. Pour lui, c’était juste du miel. Heureusement pour le nouveau-né qui a très vite été pris en charge par les médecins qui ont pu stabiliser son état de santé.
Les raisons avancées pour justifier leurs actes sont multiples (pauvreté, honte, peur de jeter l’opprobre sur sa famille ou d’entacher sa réputation, ou encore rejet de leur partenaire). Mais, dans le cas d’espèce, il s’agit bien d’un père de famille qui a voulu mettre fin à la vie de son fils. Il a d’ailleurs été déféré au parquet pour tentative d’infanticide.
Selon «BÉS BI, Le Jour», tout a commencé avec un appel du service social de l’hôpital Albert Royer, où venait d’être évacué un nouveau-né de sexe masculin. Tout de suite après, les hommes du commissaire Thiam du Point E se sont déplacés sur les lieux pour s’enquérir de la situation.
Après un tête-à -tête avec le médecin, ce dernier a donné un rapport aux limiers. Lequel indique qu’ils ont reçu un nouveau-né qui avait été admis au centre de santé Nabil Choucair pour absorption d’un pesticide. Un produit qui avait été donné au bébé par son propre père qui soutient l’avoir confondu avec du miel.
En réalité, le mis en cause qui habite Grand-Yoff et qui est courtier de femmes de ménage avait connu la mère de l’enfant dans le cadre de son travail. Marié, il s’était entiché de la fille avec qui il a eu une relation amoureuse sanctionnée par une grossesse. Et le jour des faits, la mère de l’enfant qui devait voyager à Kaffrine, pour on ne sait quelle raison, n’a pas été installée dans la procédure.
Même si, devant les enquêteurs, la dame a été peu prolixe sur les raisons qui l’ont poussée à laisser son nouveau-né entre les mains de son père, il faut noter qu’après cet incident, la garde du bébé a été confiée à sa mère, le temps de boucler la procédure.
Sans doute, la jeune fille, victime d’une grossesse non-désirée et ne pouvant pas s’occuper du bébé, l’avait renvoyé à son père qui est déjà mariée. Et pour se débarrasser de cet enfant qui était devenu un fardeau pour lui, le père de famille n’avait rien trouvé de mieux à faire que de tenter de le tuer.
Finalement, le sieur El. H. Cissé a été le seul à être poursuivi pour tentative d’infanticide, même s’il a tenté en vain de prouver sa bonne foi en soutenant qu’il n’a jamais voulu attenter à la vie de son fils. Pour lui, c’était juste du miel. Heureusement pour le nouveau-né qui a très vite été pris en charge par les médecins qui ont pu stabiliser son état de santé.