Dès le matin, des policiers ont été envoyés pour s’occuper des « perturbateurs ». Les syndicalistes qui pensaient qu’ils sont venus cette fois-ci pour veiller à la sécurité de rencontre, ont eu la surprise de leur vie. Puisque leur porte-parole, Cheikh Seck a reçu une convocation de la part du commissaire de police de Grand-Yoff.
Et c’est au moment où il soignait ses malades que l’émissaire du commissaire, l’adjudant Guèye est arrivé sur les lieux. « A notre grande surprise; j’ai reçu une convocation du commissaire de Grand-Yoff amené par un certain adjudant Guèye ; il me trouve dans la salle en train de prendre mes malades à 11h11 et me dit que je suis convoqué à 11 heures », a raconté M. Seck. Pourtant, ces syndicalistes précisent avoir convoqué cette Assemblée générale dans un endroit fermé, notamment au niveau de l’amphithéâtre de l’hôpital.
Du côté de la direction de l’hôpital, on ne s’en cache pas. Les services de communication indiquent que la rencontre a été interdite parce que le syndicat est fictif. Mieux, l’hôpital doit veiller à la tranquillité des malades en évitant le désordre, a expliqué Tombon Guèye, le responsable du service de communication de l'hôpital.
Cheikh Seck qui souligne que la Direction a été saisie par courrier dans le cadre de cette rencontre, regrette que c’est pour la troisième fois que leur rencontre est interdite. « Nous constatons et c’est la 3e fois. A chaque fois que nous voulons organiser une activité au niveau de l’hôpital, c’est la Police qui nous convoque et on nous fait des grimaces », a-t-il fustigé, continuant de ruminer sa colère.
Et c’est au moment où il soignait ses malades que l’émissaire du commissaire, l’adjudant Guèye est arrivé sur les lieux. « A notre grande surprise; j’ai reçu une convocation du commissaire de Grand-Yoff amené par un certain adjudant Guèye ; il me trouve dans la salle en train de prendre mes malades à 11h11 et me dit que je suis convoqué à 11 heures », a raconté M. Seck. Pourtant, ces syndicalistes précisent avoir convoqué cette Assemblée générale dans un endroit fermé, notamment au niveau de l’amphithéâtre de l’hôpital.
Du côté de la direction de l’hôpital, on ne s’en cache pas. Les services de communication indiquent que la rencontre a été interdite parce que le syndicat est fictif. Mieux, l’hôpital doit veiller à la tranquillité des malades en évitant le désordre, a expliqué Tombon Guèye, le responsable du service de communication de l'hôpital.
Cheikh Seck qui souligne que la Direction a été saisie par courrier dans le cadre de cette rencontre, regrette que c’est pour la troisième fois que leur rencontre est interdite. « Nous constatons et c’est la 3e fois. A chaque fois que nous voulons organiser une activité au niveau de l’hôpital, c’est la Police qui nous convoque et on nous fait des grimaces », a-t-il fustigé, continuant de ruminer sa colère.