Ayant bénéficié d’une grâce du chef de l’État à la veille de la Tabaski, Luc Nicolaï ne s’est pas encore tiré d’affaire.
Selon L’Observateur, le promoteur de lutte pourrait retourner en prison, si Bertrand Touly décide de saisir à la justice pour exercer la contrainte par corps, afin d’exiger le paiement des indemnités des 300 millions infligés à Luc.
Poursuivi pour détention de drogue, association de malfaiteurs et tentative d’extorsion de fonds en 2012, il a été condamné à cinq ans de prison, dont un avec sursis, dans le cadre de l’affaire de la drogue du Lamantin Beach.
Sa grâce fait grincer dents car selon plusieurs spécialistes du droit, le promoteur de lutte n’est pas éligible à la grâce présidentielle.