Un projet financé par le fonds fiduciaire d’urgence de l’Union Européenne et mis en exécution par l’Agence espagnole de coopération pour le développement (Aecid) et la Direction générale d’appui aux Sénégalais de l’extérieur (Dgase) du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur.
Selon Mamadou Ndour, responsable du Bureau d’accueil d’orientation et de suivi des Sénégalais de l'extérieur (Baos) de Kolda, la pertinence de ce cadre de concertation réside dans le fait qu’il va permettre «une synergie des acteurs et une harmonisation des interventions dans la gestion des questions migratoires, mais aussi une évaluation et un suivi corrects des projets et financements des migrants de retour et des migrants potentiels», entre autres.
Dans le sillage de la création de ce cadre de concertation régionale, un comité restreint a été mis sur pied. Il va se charger d’élaborer les termes de référence et de définir l’organigramme et la structure de cet outil régional d’harmonisation et de suivi de la gouvernance de la migration dans la région. Une région qui comporte encore des localités réputées être des zones de départs de candidats à la migration irrégulière, si on se fie à la situation de référence présentée aux acteurs, à l’occasion de cette rencontre.
En effet, la cartographie des départs a révélé que «les personnes les plus valides de la tranche d’âge de 25 à 35 ans et de 35 à 45ans partent à l’aventure». Ces deux catégories regroupent 74,5% des migrants de retour interrogés dans le cadre de cette étude.
Au sujet des mobiles des départs, les raisons d’ordre économiques sont récurrentes. Toutefois, «la pression familiale et la désinformation entretenue par certains émigrés qui présentent l’Europe comme étant un continent constitué de pays merveilleux et de délices, encouragent les jeunes à partir», a-t-on souligné pour le déplorer
Tribune
Selon Mamadou Ndour, responsable du Bureau d’accueil d’orientation et de suivi des Sénégalais de l'extérieur (Baos) de Kolda, la pertinence de ce cadre de concertation réside dans le fait qu’il va permettre «une synergie des acteurs et une harmonisation des interventions dans la gestion des questions migratoires, mais aussi une évaluation et un suivi corrects des projets et financements des migrants de retour et des migrants potentiels», entre autres.
Dans le sillage de la création de ce cadre de concertation régionale, un comité restreint a été mis sur pied. Il va se charger d’élaborer les termes de référence et de définir l’organigramme et la structure de cet outil régional d’harmonisation et de suivi de la gouvernance de la migration dans la région. Une région qui comporte encore des localités réputées être des zones de départs de candidats à la migration irrégulière, si on se fie à la situation de référence présentée aux acteurs, à l’occasion de cette rencontre.
En effet, la cartographie des départs a révélé que «les personnes les plus valides de la tranche d’âge de 25 à 35 ans et de 35 à 45ans partent à l’aventure». Ces deux catégories regroupent 74,5% des migrants de retour interrogés dans le cadre de cette étude.
Au sujet des mobiles des départs, les raisons d’ordre économiques sont récurrentes. Toutefois, «la pression familiale et la désinformation entretenue par certains émigrés qui présentent l’Europe comme étant un continent constitué de pays merveilleux et de délices, encouragent les jeunes à partir», a-t-on souligné pour le déplorer
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