Le délai de quatre-vingt-dix jours accordé au repreneur de la société ferroviaire Transrail, Abass Jaber, a expiré hier, renseignent nos confrères du journal Le Quotidien. Ainsi et suite à la résiliation du contrat de concession ferroviaire en décembre dernier, une nouvelle équipe chargée de gérer la phase transitoire a été installée, hier, dans la capitale malienne. Laquelle équipe est dirigée par le directeur général du Petit train de banlieue (Ptb), Joseph Gabriel Sambou.
Pour rappel, depuis le 7 décembre 2015, Abass Jaber n’est plus l’actionnaire majoritaire de Transrail. Son contrat a été résilié à la suite d’une rencontre entre Etats du Mali et du Sénégal tenue dans la capitale malienne. Finalement, le principe du fait de Prince a été retenu par les deux Etats pour sceller le sort de Jaber. Et dans ces conditions, le président directeur général de Transrail n’a aucun droit de recours. Un délai de deux mois lui a été donné pour faire ses valises et quitter définitivement l’entreprise. Ainsi et en attendant la mise en place d’un nouveau plan de relance avec les investissements nécessaires, un organe provisoire a été mis en place hier à Bamako pour gérer la période transitoire. Il s’agit d’un collège de cinq hauts responsables dont un directeur général issu du Sénégal assisté de deux Maliens et deux Sénégalais. Des audits seront aussi menés avant d’enclencher une nouvelle dynamique de privatisation ou avant d’aller vers des investissements conséquents, renseignent les autorités compétentes.
Pour rappel, depuis le 7 décembre 2015, Abass Jaber n’est plus l’actionnaire majoritaire de Transrail. Son contrat a été résilié à la suite d’une rencontre entre Etats du Mali et du Sénégal tenue dans la capitale malienne. Finalement, le principe du fait de Prince a été retenu par les deux Etats pour sceller le sort de Jaber. Et dans ces conditions, le président directeur général de Transrail n’a aucun droit de recours. Un délai de deux mois lui a été donné pour faire ses valises et quitter définitivement l’entreprise. Ainsi et en attendant la mise en place d’un nouveau plan de relance avec les investissements nécessaires, un organe provisoire a été mis en place hier à Bamako pour gérer la période transitoire. Il s’agit d’un collège de cinq hauts responsables dont un directeur général issu du Sénégal assisté de deux Maliens et deux Sénégalais. Des audits seront aussi menés avant d’enclencher une nouvelle dynamique de privatisation ou avant d’aller vers des investissements conséquents, renseignent les autorités compétentes.