Le général Mamadou Mansour Seck fait partie de ceux qui ont suivi au plus près le procès Alioune Ndao et Cie, jugés pour terrorisme. L’ancien chef d’Etat-major général des Armée (Cenga) s’est fait une religion sur cette affaire, qui a tenu en haleine les Sénégalais, il y a quelques jours.
" J’ai assisté à certaines séances (audiences, Ndrl), mais à mon âge, c’est la première fois que j’ai entendu dire que pour approfondir ma connaissance de l’Islam, j’ai appris à manipuler des Kalachnikov, à utiliser et à conduire des chars de combat, cela n’a rien à voir pour moi avec la religion ", fait-t-il observer dans un entretien paru dans L’Observateur.
A la question de savoir s’il est convaincu que les mis en cause prépareraient quelque chose contre le Sénégal, il déclare : « Je le crois parce qu’on a donné des informations. D’abord on ne l’a pas fait à Dakar, on l’a fait dans une ville qui est décentralisée par rapport à Dakar, sur la couverture de la religion, pour aller jusqu’à dire que j’ai appris comment utiliser le Kalachnikov, la remonter pour des histoires de la religion à connaitre. Lorsqu’on parle de somme très importantes, ce n’est pas n’importe quoi. Ce sont des velléités. Ils ne sont pas arrivés à commencer leur affaire, mais l’Etat a tout à fait le droit de prendre des mesures, pour que ces gens ne puissent pas être nuisibles en quoi que ce soit ».
Imam Aliou Ndao et ses Co-accusés seront fixés sur leur sort 19 juillet prochain. Le parquet a requis l’acquittement pour certains et les peines de travaux forcés dont la perpétuité pour d’autres.
" J’ai assisté à certaines séances (audiences, Ndrl), mais à mon âge, c’est la première fois que j’ai entendu dire que pour approfondir ma connaissance de l’Islam, j’ai appris à manipuler des Kalachnikov, à utiliser et à conduire des chars de combat, cela n’a rien à voir pour moi avec la religion ", fait-t-il observer dans un entretien paru dans L’Observateur.
A la question de savoir s’il est convaincu que les mis en cause prépareraient quelque chose contre le Sénégal, il déclare : « Je le crois parce qu’on a donné des informations. D’abord on ne l’a pas fait à Dakar, on l’a fait dans une ville qui est décentralisée par rapport à Dakar, sur la couverture de la religion, pour aller jusqu’à dire que j’ai appris comment utiliser le Kalachnikov, la remonter pour des histoires de la religion à connaitre. Lorsqu’on parle de somme très importantes, ce n’est pas n’importe quoi. Ce sont des velléités. Ils ne sont pas arrivés à commencer leur affaire, mais l’Etat a tout à fait le droit de prendre des mesures, pour que ces gens ne puissent pas être nuisibles en quoi que ce soit ».
Imam Aliou Ndao et ses Co-accusés seront fixés sur leur sort 19 juillet prochain. Le parquet a requis l’acquittement pour certains et les peines de travaux forcés dont la perpétuité pour d’autres.