Les réactions se poursuivent suite à la garde à vue de Me Moussa Diop qui a fait des révélations explosives sur un présumé contrat d’exploration de diamant par de hautes personnalités du régime en place.
Dans un communiqué, le F24 condamne «la répression sélective mise en branle, réclame une enquête indépendante pour faire la lumière sur les faits incriminés et encourage toute initiative de la société civile et des parlementaires allant dans ce sens».
Selon Mamadou Mbodj et ses camarades, «il n’est pas acceptable que Maître Moussa Diop soit la victime expiatoire des nombreux scandales étouffés, non élucidés (Petrotim, Prodac, Covid-19…) et non suivis de sanction depuis 2012». A les en croire, «on devrait saluer, dans sa démarche, le courage d’un lanceur d’alerte».
Ces forces vives du Sénégal exigent, par conséquent, «la libération immédiate des prisonniers politiques», non sans rappeler aux autorités politiques et judiciaires du pays «la nécessité de prendre les dispositions pour permettre à tous les citoyens encore dans les geôles en février 2024, d’exercer leur droit inaliénable de participer au choix du futur président de la République, de voter comme tous les autres Sénégalais».
Le F24 qui a également fait état du déplacement du Premier ministre Amadou Ba à Paris note que «le silence de la France et de l’Occident face à la dégradation continue de l’état de la démocratie et des libertés publiques sonne de plus en plus comme une complicité inacceptable…».
Bes Bi
Dans un communiqué, le F24 condamne «la répression sélective mise en branle, réclame une enquête indépendante pour faire la lumière sur les faits incriminés et encourage toute initiative de la société civile et des parlementaires allant dans ce sens».
Selon Mamadou Mbodj et ses camarades, «il n’est pas acceptable que Maître Moussa Diop soit la victime expiatoire des nombreux scandales étouffés, non élucidés (Petrotim, Prodac, Covid-19…) et non suivis de sanction depuis 2012». A les en croire, «on devrait saluer, dans sa démarche, le courage d’un lanceur d’alerte».
Ces forces vives du Sénégal exigent, par conséquent, «la libération immédiate des prisonniers politiques», non sans rappeler aux autorités politiques et judiciaires du pays «la nécessité de prendre les dispositions pour permettre à tous les citoyens encore dans les geôles en février 2024, d’exercer leur droit inaliénable de participer au choix du futur président de la République, de voter comme tous les autres Sénégalais».
Le F24 qui a également fait état du déplacement du Premier ministre Amadou Ba à Paris note que «le silence de la France et de l’Occident face à la dégradation continue de l’état de la démocratie et des libertés publiques sonne de plus en plus comme une complicité inacceptable…».
Bes Bi