Une manifestation pacifique de l'opposition gambienne a viré hier à un bain de sang. Selon Freedomnewspapers, les forces de l'ordre ont tiré des balles réelles sur les manifestants causant plusieurs blessés graves, avant de procéder à l'arrestation de 42 manifestants.
A en croire nos confrères, le chef de l'opposition Ousainou Darboe et d'autres opposants ont été placés à nouveau en prison après avoir brièvement comparu devant le tribunal. Le domicile de M. Darboe a été pris d'assaut par les forces de l'ordre qui y ont effectué une perquisition avant d'en interdire l'accès aux occupants.
Selon nos confrères gambiens, 42 personnes ont été brutalisées, arrêtées, avant d'être embarquées dans deux véhicules différents pour les transporter d'abord au siège de la PIU avant d’être acheminés à la prison de Janjangbureh qui se trouve à 35 kilomètres de Banjul. A en croire Freedomnewspaper, c'est Yaya Jammeh en personne qui aurait intimé l'ordre aux militaires de conduire de force les manifestants arrêtés à Janjangbureh, où ils ont subi divers sévices.
Pour mettre fin aux dérives de Jammeh, la société civile gambienne en apelle à la communauté internationale dans une déclaration publique : "La communauté internationale est interpellée sur les actions du dictateur Yahya Jammeh qui veut liquider secrètement les manifestants. Jammeh n'a pas l'intention de traduire les manifestants en Justice. S'il avait l'intention de le faire, il ne les aurait pas déplacés vers Janjangbureh. Tout peut arriver à ces manifestants arrêtés. Nous estimons qu'il est impératif de partager cette information vitale pour que monde entier soit au courant de ce que fait Yaya Jammeh en Gambie. Un génocide se déroule actuellement dans notre pays. Le monde doit agir maintenant, avant que Jammeh ne finisse par tuer des manifestants pacifiques et innocents... "
A en croire nos confrères, le chef de l'opposition Ousainou Darboe et d'autres opposants ont été placés à nouveau en prison après avoir brièvement comparu devant le tribunal. Le domicile de M. Darboe a été pris d'assaut par les forces de l'ordre qui y ont effectué une perquisition avant d'en interdire l'accès aux occupants.
Selon nos confrères gambiens, 42 personnes ont été brutalisées, arrêtées, avant d'être embarquées dans deux véhicules différents pour les transporter d'abord au siège de la PIU avant d’être acheminés à la prison de Janjangbureh qui se trouve à 35 kilomètres de Banjul. A en croire Freedomnewspaper, c'est Yaya Jammeh en personne qui aurait intimé l'ordre aux militaires de conduire de force les manifestants arrêtés à Janjangbureh, où ils ont subi divers sévices.
Pour mettre fin aux dérives de Jammeh, la société civile gambienne en apelle à la communauté internationale dans une déclaration publique : "La communauté internationale est interpellée sur les actions du dictateur Yahya Jammeh qui veut liquider secrètement les manifestants. Jammeh n'a pas l'intention de traduire les manifestants en Justice. S'il avait l'intention de le faire, il ne les aurait pas déplacés vers Janjangbureh. Tout peut arriver à ces manifestants arrêtés. Nous estimons qu'il est impératif de partager cette information vitale pour que monde entier soit au courant de ce que fait Yaya Jammeh en Gambie. Un génocide se déroule actuellement dans notre pays. Le monde doit agir maintenant, avant que Jammeh ne finisse par tuer des manifestants pacifiques et innocents... "