Selon le site d'information gambien "freedomnewspaper" repris par Jotay.net, l'arrestation de ces trois officiers est liée à la vague d’incendies criminels perpétrés au siège du parti au pouvoir (APRC) et dans deux entreprises attribués au Président Yaya Jammeh.
Avant les trois officiers, Jarrie Badji, de la garde présidentielle, avait été arrêtée et détenue depuis lors. On lui reprocherait d’avoir prêté sa voiture à un collègue qui se serait retrouvé dans les environs du siège du parti présidentiel au moment de l’incendie.
Le 14 août dernier, des inconnus s’étaient introduits au siège de parti présidentiel, l’Alliance pour la réorientation et la construction patriotique (ARC) à Banjul. Après avoir déshabillé et attaché le policier en faction contre un arbre dans la cour, ils ont mis le feu au bâtiment.
Deux semaines avant, une station-service à Bakau, et un dépôt de Gaz à Abuko, qui appartiendraient à Yaya jammeh, ont également été incendiés.
Ces attaques n’ont pas été revendiquées et les responsables qui ont bien réussi leurs coups courent toujours.
Des analystes de la sécurité nationale gambienne soulignaient à l’époque à fredomnewpaper que ces « incendies criminels coordonnés » étaient des « signes d’activités organisées de rébellion et d’insurrection ».
Avant les trois officiers, Jarrie Badji, de la garde présidentielle, avait été arrêtée et détenue depuis lors. On lui reprocherait d’avoir prêté sa voiture à un collègue qui se serait retrouvé dans les environs du siège du parti présidentiel au moment de l’incendie.
Le 14 août dernier, des inconnus s’étaient introduits au siège de parti présidentiel, l’Alliance pour la réorientation et la construction patriotique (ARC) à Banjul. Après avoir déshabillé et attaché le policier en faction contre un arbre dans la cour, ils ont mis le feu au bâtiment.
Deux semaines avant, une station-service à Bakau, et un dépôt de Gaz à Abuko, qui appartiendraient à Yaya jammeh, ont également été incendiés.
Ces attaques n’ont pas été revendiquées et les responsables qui ont bien réussi leurs coups courent toujours.
Des analystes de la sécurité nationale gambienne soulignaient à l’époque à fredomnewpaper que ces « incendies criminels coordonnés » étaient des « signes d’activités organisées de rébellion et d’insurrection ».