Ousman Sonko reste en prison. L’ancien ministre de l’Intérieur gambien est débouté du recours qu’il avait introduit auprès du Tribunal fédéral suisse contre sa détention provisoire, informe le site TDG. La Haute Cour motive sa décision, dans un arrêt publié, mardi, 13 novembre, par la découverte de nouveaux éléments à charge contre Sonko.
Le Procureur de la Confédération suisse mènera une enquête également en Gambie, aux Etats-Unis et en Allemagne dans le cadre de l’affaire. Dans ces pays, le ministère Public de la Confédération s’intéresse particulièrement à l’épouse de l’ancien dignitaire du régime de Yaya Jammeh et au rapporteur spécial américain Christof Heyns.
Ousman Sonko est accusé d’avoir assisté à des actes de torture et à des atteintes à l’intégrité sexuelle perpétrés par des policiers, alors qu’il était inspecteur général de la police puis ministre de l’Intérieur en 2006 et 2016.
L’ancien dignitaire est détenu en Suisse depuis fin janvier 2017. Il séjournait incognito depuis plusieurs mois au centre d’accueil pour requérants de Lyss, avant son arrestation sur dénonciation de l’ONG Trial International.
Le Procureur de la Confédération suisse mènera une enquête également en Gambie, aux Etats-Unis et en Allemagne dans le cadre de l’affaire. Dans ces pays, le ministère Public de la Confédération s’intéresse particulièrement à l’épouse de l’ancien dignitaire du régime de Yaya Jammeh et au rapporteur spécial américain Christof Heyns.
Ousman Sonko est accusé d’avoir assisté à des actes de torture et à des atteintes à l’intégrité sexuelle perpétrés par des policiers, alors qu’il était inspecteur général de la police puis ministre de l’Intérieur en 2006 et 2016.
L’ancien dignitaire est détenu en Suisse depuis fin janvier 2017. Il séjournait incognito depuis plusieurs mois au centre d’accueil pour requérants de Lyss, avant son arrestation sur dénonciation de l’ONG Trial International.