C’est son avocat a fait cette révélation devant le juge Kumba Sillah Camara de la haute Cour de Banjul. A en croire le journal L’As, dans sa parution du jour, le procès des neuf anciens agents de l’agence de renseignement sous Jammeh, devait reprendre hier, après une pause. En attendant, les résultats de l’autopsie du corps de Sandeng sont attendus.
Pour certainement sceller le sort des accusés. Le Tribunal, pour sa part, a renvoyé l’affaire au 25 octobre prochain pour permettre à l’ancien directeur général de la Nia d’être présent. Il devra de toutes les façons prouver son innocence s’il veut se sortir de ce guêpier.
Il faut noter que Adama Barrow, peu après son investiture, a destitué Yankuba Badjie de ses fonctions à la tête de la NIA et l’a remplacé par l’ex-directeur financier de cette agence, Musa Dibba. Avec la NIA rebaptisée «Service de renseignement d’Etat» par Barrow, l’ancien Directeur a été mis en «détention provisoire», pour subir des interrogations à propos de certaines affaires, sous le magistère de Jammeh, quand il était chef de la NIA. Les accusations portées contre cette institution sont : « détentions arbitraires, disparitions, arrestations et tortures de journalistes et d’opposants à l’ancien président Jammeh ».
Pour certainement sceller le sort des accusés. Le Tribunal, pour sa part, a renvoyé l’affaire au 25 octobre prochain pour permettre à l’ancien directeur général de la Nia d’être présent. Il devra de toutes les façons prouver son innocence s’il veut se sortir de ce guêpier.
Il faut noter que Adama Barrow, peu après son investiture, a destitué Yankuba Badjie de ses fonctions à la tête de la NIA et l’a remplacé par l’ex-directeur financier de cette agence, Musa Dibba. Avec la NIA rebaptisée «Service de renseignement d’Etat» par Barrow, l’ancien Directeur a été mis en «détention provisoire», pour subir des interrogations à propos de certaines affaires, sous le magistère de Jammeh, quand il était chef de la NIA. Les accusations portées contre cette institution sont : « détentions arbitraires, disparitions, arrestations et tortures de journalistes et d’opposants à l’ancien président Jammeh ».