FAR Ltd s’est heurté à l’opposition des actionnaires en juin de l’année dernière lorsqu’un certain nombre de votes lors de son Conseil ont été contraires à ses plans. Allan Gray en était l’une des voix proéminentes. L’ Australien FAR devrait pousser un Ouf de soulagement à l’annonce qu’Allan Gray n’est plus un actionnaire important.
Allan Gray avait fait pression pour que FAR restitue de l’argent aux actionnaires plutôt que de poursuivre ses plans. Le vairon a divisé la différence, restituant 80 millions de dollars australiens (57,7 millions de dollars) à ses propriétaires, mais a également poursuivi les plans de forage au large de la Gambie.
Le puits Bambo-1 a coûté 61 millions de dollars, dont la moitié était attribuée à FAR. Le pétrole trouvé n’était pas une découverte à haute valeur commerciale. Mais, FAR a déclaré qu’il disposerait de 37 millions de dollars de liquidités après l’achèvement de l’exploitation du puits.
Allan Gray détenait une participation de 12,3% dans FAR en septembre, qu’il a vendu au fil des mois. Le cours de l’action FAR avant l’annonce des résultats de Bambo était d’environ 0,76 $A (0,54 $). Il se négocie désormais à 0,39 AUD (0,28 $), ce qui lui donne une capitalisation boursière de 39,9 millions de dollars australiens (28,8 millions de dollars).
Depuis l’explosion du puits Bambo-1 en plein forage et l’annonce de découvertes en deçà des prévisions, FAR Ltd met les bouchées double sur son permis Sénégalais de Sangomar et le permis obtenu de Umaru Embalò au large de Bissau
En plus de ses liquidités, FAR a toujours un paiement éventuel de 55 millions de dollars de Woodside Energy à l’horizon. Ce paiement viendra à échéance en fonction des prix futurs des matières premières notamment l’exploitation du pétrole de Sangomar au Sénégal.
La société FAR a identifié des prospects supplémentaires dans les blocs A2 et A5 de la Gambie. Elle détient également une participation dans un permis au large de la Guinée-Bissau, avec un engagement dans d’autres puits en 2023. La société a déclaré qu’elle serait ouverte à la cession de cette participation.
Pourtant en 2018, le président gambien Adama Barrow avait déclaré que son pays allait entrer dans le cercle restreint des pays pétroliers avec la découverte d’un gisement de plus d’un milliard de barils, le plus important en Afrique de l’Ouest.
Bizarrement, à peine trois ans plus tard, le gisement annoncé comme l’un des plus importants et dont la société FAR Ltd présentait à travers le prospect samo comme ayant des similitudes avec les champs pétrolier sénégalais SNE, se révélera comme un feu de paille.
Avec AA atlantisactu
Allan Gray avait fait pression pour que FAR restitue de l’argent aux actionnaires plutôt que de poursuivre ses plans. Le vairon a divisé la différence, restituant 80 millions de dollars australiens (57,7 millions de dollars) à ses propriétaires, mais a également poursuivi les plans de forage au large de la Gambie.
Le puits Bambo-1 a coûté 61 millions de dollars, dont la moitié était attribuée à FAR. Le pétrole trouvé n’était pas une découverte à haute valeur commerciale. Mais, FAR a déclaré qu’il disposerait de 37 millions de dollars de liquidités après l’achèvement de l’exploitation du puits.
Allan Gray détenait une participation de 12,3% dans FAR en septembre, qu’il a vendu au fil des mois. Le cours de l’action FAR avant l’annonce des résultats de Bambo était d’environ 0,76 $A (0,54 $). Il se négocie désormais à 0,39 AUD (0,28 $), ce qui lui donne une capitalisation boursière de 39,9 millions de dollars australiens (28,8 millions de dollars).
Depuis l’explosion du puits Bambo-1 en plein forage et l’annonce de découvertes en deçà des prévisions, FAR Ltd met les bouchées double sur son permis Sénégalais de Sangomar et le permis obtenu de Umaru Embalò au large de Bissau
En plus de ses liquidités, FAR a toujours un paiement éventuel de 55 millions de dollars de Woodside Energy à l’horizon. Ce paiement viendra à échéance en fonction des prix futurs des matières premières notamment l’exploitation du pétrole de Sangomar au Sénégal.
La société FAR a identifié des prospects supplémentaires dans les blocs A2 et A5 de la Gambie. Elle détient également une participation dans un permis au large de la Guinée-Bissau, avec un engagement dans d’autres puits en 2023. La société a déclaré qu’elle serait ouverte à la cession de cette participation.
Pourtant en 2018, le président gambien Adama Barrow avait déclaré que son pays allait entrer dans le cercle restreint des pays pétroliers avec la découverte d’un gisement de plus d’un milliard de barils, le plus important en Afrique de l’Ouest.
Bizarrement, à peine trois ans plus tard, le gisement annoncé comme l’un des plus importants et dont la société FAR Ltd présentait à travers le prospect samo comme ayant des similitudes avec les champs pétrolier sénégalais SNE, se révélera comme un feu de paille.
Avec AA atlantisactu