S’il a été décoré ce jour à l’instar d’autres collaborateurs du président de la République, Noureddin Bongo Valentin a également été «remis à son administration d’origine» ce lundi 13 septembre à l’occasion du Conseil des ministres. Il devrait cependant rebondir à la tête d’un organe en cours de création au palais présidentiel : le Haut-Commissariat de la République.
Nommé au poste en décembre 2019, Noureddin Bongo Valentin a quitté ses fonctions de Coordinateur général des affaires présidentielles ce lundi. Il a été remis à son administration d’origine, selon la formule d’usage. Son limogeage est intervenu peu avant sa décoration, à l’instar d’autres collaborateurs du chef de l’État.
Mais selon des sources proches de la présidence de la République, le fils d’Ali Bongo ne devrait pas passer trop de temps au «chômage». Il serait déjà promis à un tout nouveau poste en cours de création : Haut-Commissaire de la République.
Ce lundi en effet, la ministre des Relations avec les institutions constitutionnelles, me Denise Mekam’ne, a soumis au Conseil des ministres qui l’a adopté un projet d’ordonnance portant création du Haut-Commissariat de la République. Il s’agit d’un nouvel organe dont la mission sera d’assister le président de la République dans l’évaluation, le suivi, la mise en œuvre de son action politique. Comme pour son ancien poste de Coordinateur général des affaires présidentielles, il sera rattaché au chef de l’Etat à qui il rendra directement compte.
Nommé au poste en décembre 2019, Noureddin Bongo Valentin a quitté ses fonctions de Coordinateur général des affaires présidentielles ce lundi. Il a été remis à son administration d’origine, selon la formule d’usage. Son limogeage est intervenu peu avant sa décoration, à l’instar d’autres collaborateurs du chef de l’État.
Mais selon des sources proches de la présidence de la République, le fils d’Ali Bongo ne devrait pas passer trop de temps au «chômage». Il serait déjà promis à un tout nouveau poste en cours de création : Haut-Commissaire de la République.
Ce lundi en effet, la ministre des Relations avec les institutions constitutionnelles, me Denise Mekam’ne, a soumis au Conseil des ministres qui l’a adopté un projet d’ordonnance portant création du Haut-Commissariat de la République. Il s’agit d’un nouvel organe dont la mission sera d’assister le président de la République dans l’évaluation, le suivi, la mise en œuvre de son action politique. Comme pour son ancien poste de Coordinateur général des affaires présidentielles, il sera rattaché au chef de l’Etat à qui il rendra directement compte.