A sa nomination, c’est tout unanimement que le monde sportif avait applaudi des deux mains car, le nouveau ministre des Sports est connu pour être un enfant de la balle. Il n’y eut ni contestation, ni coup de Jarnac. Dès que Mbagnick s’assit sur le trône, il ne tarda pas à dérouler son savoir-faire pour ressusciter un secteur moribond. Seulement, ce qu’on avait oublié, c’est que Mbagnick est un homme entier. Un «hombre hecho y derecho», comme disent les Espagnols. Et, ce n’est pas avec lui qu’il faut compter pour enterrer la vérité vraie. A la réélection de Me Augustin Senghor, les amateurs du ballon rond l’ont appris, de nouveau, à leurs dépens. Alors qu’ils s’attendaient à ce que le ministre des Sports, comme de tradition, se contente de tresser des lauriers ou distribuer des satisfécits, il a saisi l’occasion pour rappeler que notre foot, qui n’a jamais gagné de trophée de sa vie, ferait mieux maintenant de penser à se prendre en charge, comme un grand.
En cherchant et en trouvant ses propres partenaires comme le font toutes les fédérations du monde. D’abord, parce qu’il a régulièrement raté les plus grandes joutes où on l’attendait, ensuite parce qu’on ne pouvait plus le laisser continuer à pomper l’argent des autres disciplines qui, elles, au moins, nous rapportent, sur le plan de la satisfaction morale, quelque chose. Evidemment, ce n’était pas intéressant à écouter. Et les footeux le lui ont fait payer. Mais, ces vérités d’Evangile sorties de la bouche de Mbagnick Ndiaye montrent assez clairement la volonté d’un plénipotentiaire de ne plus verser dans la démagogie, après le Ministre Mbaye Ndiaye qui a posé la première pierre de la révolution. Mbagnick affiche exactement le profil du sénégalais de type nouveau, comme le réclament les gars de «Y en a marre» dont pourtant certains membres tardent à opérer la mutation. Il est donc à féliciter. En attendant ses résultats sportifs.
Cébé
En cherchant et en trouvant ses propres partenaires comme le font toutes les fédérations du monde. D’abord, parce qu’il a régulièrement raté les plus grandes joutes où on l’attendait, ensuite parce qu’on ne pouvait plus le laisser continuer à pomper l’argent des autres disciplines qui, elles, au moins, nous rapportent, sur le plan de la satisfaction morale, quelque chose. Evidemment, ce n’était pas intéressant à écouter. Et les footeux le lui ont fait payer. Mais, ces vérités d’Evangile sorties de la bouche de Mbagnick Ndiaye montrent assez clairement la volonté d’un plénipotentiaire de ne plus verser dans la démagogie, après le Ministre Mbaye Ndiaye qui a posé la première pierre de la révolution. Mbagnick affiche exactement le profil du sénégalais de type nouveau, comme le réclament les gars de «Y en a marre» dont pourtant certains membres tardent à opérer la mutation. Il est donc à féliciter. En attendant ses résultats sportifs.
Cébé
