La fille de Donald Trump s’est incrustée dans une conversation entre Justin Trudeau, Theresa May, Christine Lagarde et Emmanuel Macron.
Après la publication d’une vidéo montrant Ivanka Trump tenter d’intervenir dans une conversation entre plusieurs dirigeants mondiaux lors du G20, la fille et conseillère du président des Etats-Unis a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux.
A la conférence de Yalta avec Churchill, Roosevelt et Staline, sur les plages du Débarquement de Normandie ou sur la Lune… Plusieurs détournements de la jeune femme de 37 ans, ont été publiés sur les réseaux sociaux.
« Etre "fille de" n’est pas une qualification professionnelle »
Le hashtag #UnwantedIvanka (Ivanka n’est pas la bienvenue) a émergé sur Twitter, après la publication ce week-end sur le compte Instagram de l’Elysée d’une vidéo filmée lors du sommet du G20 au Japon.
On y voit Ivanka Trump essayer d’intervenir lors d’un échange informel entre la Première ministre britannique, Theresa May, le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, le président français, Emmanuel Macron, et la patronne du FMI, Christine Lagarde, qui semblent royalement ignorer la « First Daughter » à ses côtés. « Cela peut sembler choquant pour certains, mais être "fille de" n’est pas une qualification professionnelle », a réagi la jeune élue démocrate Alexandria Ocasio-Cortez.
Pour Donald Trump, sa fille « est une vraie diplomate »
Ivanka Trump a le statut officiel de conseillère de son président de père. Régulièrement présente, avec son mari Jared Kushner, dans l’entourage resserré de Donald Trump au G20 d’Osaka, elle était également auprès de son père lors de sa rencontre historique avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, dans la zone démilitarisée entre les deux Corées.
Donald Trump avait déclaré en avril, avoir envisagé de nommer sa fille Ivanka à la tête de la Banque mondiale ou comme ambassadrice des Etats-Unis aux Nations-Unies. « C’est une vraie diplomate », « elle est très bonne avec les chiffres », avait-il avancé dans un entretien au magazine The Atlantic, précisant y avoir renoncé afin de ne pas être accusé de « népotisme ».
Après la publication d’une vidéo montrant Ivanka Trump tenter d’intervenir dans une conversation entre plusieurs dirigeants mondiaux lors du G20, la fille et conseillère du président des Etats-Unis a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux.
A la conférence de Yalta avec Churchill, Roosevelt et Staline, sur les plages du Débarquement de Normandie ou sur la Lune… Plusieurs détournements de la jeune femme de 37 ans, ont été publiés sur les réseaux sociaux.
« Etre "fille de" n’est pas une qualification professionnelle »
Le hashtag #UnwantedIvanka (Ivanka n’est pas la bienvenue) a émergé sur Twitter, après la publication ce week-end sur le compte Instagram de l’Elysée d’une vidéo filmée lors du sommet du G20 au Japon.
On y voit Ivanka Trump essayer d’intervenir lors d’un échange informel entre la Première ministre britannique, Theresa May, le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, le président français, Emmanuel Macron, et la patronne du FMI, Christine Lagarde, qui semblent royalement ignorer la « First Daughter » à ses côtés. « Cela peut sembler choquant pour certains, mais être "fille de" n’est pas une qualification professionnelle », a réagi la jeune élue démocrate Alexandria Ocasio-Cortez.
Pour Donald Trump, sa fille « est une vraie diplomate »
Ivanka Trump a le statut officiel de conseillère de son président de père. Régulièrement présente, avec son mari Jared Kushner, dans l’entourage resserré de Donald Trump au G20 d’Osaka, elle était également auprès de son père lors de sa rencontre historique avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, dans la zone démilitarisée entre les deux Corées.
Donald Trump avait déclaré en avril, avoir envisagé de nommer sa fille Ivanka à la tête de la Banque mondiale ou comme ambassadrice des Etats-Unis aux Nations-Unies. « C’est une vraie diplomate », « elle est très bonne avec les chiffres », avait-il avancé dans un entretien au magazine The Atlantic, précisant y avoir renoncé afin de ne pas être accusé de « népotisme ».