Ce mardi 17 octobre 2023, le procès du meurtrier présumé du Sénégalais Abdoulaye Diène va s’ouvrir à la Cour d’Assises de Paris. Aubin Makiadi, un Congolais âgé de 43 ans, fera face à la justice pour réponde de ses aces présumés.
Les faits ont eu lieu le 14 août 2021. Abdoulaye Diène, un Sénégalais de 35 ans, discutait tranquillement avec son ami Ali Hamad, dans le 18e arrondissement de Paris. Vers 17h 55, un homme, avec un chien de race pitbull, est venu échanger quelques mots avec eux. Puis, il est reparti dans son véhicule pour s’emparer d’une hache. Le temps qu’Abdoulaye Diène comprenne ce qui se passait, l’individu lui assènait deux coup de hache en pleine tête. Il blessera aussi, à la main, Ali Hamid, renseigne le journal "Libération". Abdoulaye Diéne a finalement rendu l’âme suite à ses blessures, 16 jours plus tard, soit le 30 août 2021. Il a été enterré à Louga, sa ville d’origine, après le rapatriement de son corps.
L’enquête ouverte par la police, a permis de mettre la main sur Aubin Makiadi, un Congolais âgé de 43 ans. Le mis en cause, inculpé pour assassinat et violences avec arme, a été formellement mis en cause par l’enquête de police, mais aussi par des témoins. L’un d’eux l’a reconnu parmi 9 personnes, lors de l’enquête policière, explique la source.
Il ressort du dossier qu’Aubin Makiadi, sans preuve aucune, accusait Abdoulaye Diène d’avoir volé son téléphone, qui aurait été posé à un moment sur le capot de son véhicule. Ce qui n’était pas le cas, puisque les témoins ont affirmé au policier avoir vu le voleur.
La famille de Abdoulaye Diène a commis Me Patrick Kabou, originaire, comme la victime, du Ndiambour.
Les faits ont eu lieu le 14 août 2021. Abdoulaye Diène, un Sénégalais de 35 ans, discutait tranquillement avec son ami Ali Hamad, dans le 18e arrondissement de Paris. Vers 17h 55, un homme, avec un chien de race pitbull, est venu échanger quelques mots avec eux. Puis, il est reparti dans son véhicule pour s’emparer d’une hache. Le temps qu’Abdoulaye Diène comprenne ce qui se passait, l’individu lui assènait deux coup de hache en pleine tête. Il blessera aussi, à la main, Ali Hamid, renseigne le journal "Libération". Abdoulaye Diéne a finalement rendu l’âme suite à ses blessures, 16 jours plus tard, soit le 30 août 2021. Il a été enterré à Louga, sa ville d’origine, après le rapatriement de son corps.
L’enquête ouverte par la police, a permis de mettre la main sur Aubin Makiadi, un Congolais âgé de 43 ans. Le mis en cause, inculpé pour assassinat et violences avec arme, a été formellement mis en cause par l’enquête de police, mais aussi par des témoins. L’un d’eux l’a reconnu parmi 9 personnes, lors de l’enquête policière, explique la source.
Il ressort du dossier qu’Aubin Makiadi, sans preuve aucune, accusait Abdoulaye Diène d’avoir volé son téléphone, qui aurait été posé à un moment sur le capot de son véhicule. Ce qui n’était pas le cas, puisque les témoins ont affirmé au policier avoir vu le voleur.
La famille de Abdoulaye Diène a commis Me Patrick Kabou, originaire, comme la victime, du Ndiambour.