"Munis d’armes à feu et circulant à bord d’un véhicule 4X4, les assaillants ont attaqué vers 4 heures du matin, le bureau de Poste de Djilor-Saloum, où se trouvait un vigile en service de nuit", a confié à l’APS le commandant de la brigade de gendarmerie de Foundiougne, Saliou Ndiaye.
Le commandant Ndiaye a indiqué que le gardien, "agressé et malmené, […] ne doit son salut qu’à la réaction et au déploiement rapide après l’alerte, d’éléments de la gendarmerie en service dans la zone". "Nos unités en renfort sont intervenues directement pour empêcher les malfaiteurs, qui ont tenté de réagir avec des coups de feu, de dérouler leur plan", a-t-il expliqué.
"Acculés avec notre riposte, les malfaiteurs, à bord de leur véhicule, ont pris la fuite par la route, en direction de Passy. Il s’en est suivi une course-poursuite dans cette direction, mais avec notre plan de filature, nous avons pu ériger en avance, avec d’autres agents en faction, deux barrières sur cet axe", a-t-il ajouté.
Il déclaré qu’à leur arrivée au niveau des barrières dressées à Passy, "les assaillants ont de nouveau ouvert le feu, pour tenter de forcer le passage mais sans succès grâce à la riposte de nos éléments".
"Ils ont été finalement arrêtés à court de munitions et sont présentement dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Foundiougne où ils subissent un interrogatoire, en attendant leur déferrement au parquet de Fatick", a encore informé le commandant Ndiaye.
Selon le témoignage du maire de Passy, Pape Adama Cissé, des habitants de la commune ont déclaré avoir entendu dans la nuit de vendredi, vers 5 heures du matin, des échanges nourris de coups de feu.
"Nous saluons donc la bravoure de nos gendarmes sans qui ces bandits seraient peut être aujourd’hui encore dans la nature", a-t-il confié à l’APS.
Il a invité les autorités étatiques, à "renforcer davantage la sécurité dans cette zone caractérisée actuellement par un flux massif de capitaux avec le déroulement de la campagne de commercialisation de l’arachide et la place grandissante qu’occupe le +louma+ [marché hebdomadaire] de Passy", a ajouté M. Cissé.
La vie du vigile du bureau de poste qui bénéficie de soins, ne serait pas en danger, assure-t-on.
Le commandant Ndiaye a indiqué que le gardien, "agressé et malmené, […] ne doit son salut qu’à la réaction et au déploiement rapide après l’alerte, d’éléments de la gendarmerie en service dans la zone". "Nos unités en renfort sont intervenues directement pour empêcher les malfaiteurs, qui ont tenté de réagir avec des coups de feu, de dérouler leur plan", a-t-il expliqué.
"Acculés avec notre riposte, les malfaiteurs, à bord de leur véhicule, ont pris la fuite par la route, en direction de Passy. Il s’en est suivi une course-poursuite dans cette direction, mais avec notre plan de filature, nous avons pu ériger en avance, avec d’autres agents en faction, deux barrières sur cet axe", a-t-il ajouté.
Il déclaré qu’à leur arrivée au niveau des barrières dressées à Passy, "les assaillants ont de nouveau ouvert le feu, pour tenter de forcer le passage mais sans succès grâce à la riposte de nos éléments".
"Ils ont été finalement arrêtés à court de munitions et sont présentement dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Foundiougne où ils subissent un interrogatoire, en attendant leur déferrement au parquet de Fatick", a encore informé le commandant Ndiaye.
Selon le témoignage du maire de Passy, Pape Adama Cissé, des habitants de la commune ont déclaré avoir entendu dans la nuit de vendredi, vers 5 heures du matin, des échanges nourris de coups de feu.
"Nous saluons donc la bravoure de nos gendarmes sans qui ces bandits seraient peut être aujourd’hui encore dans la nature", a-t-il confié à l’APS.
Il a invité les autorités étatiques, à "renforcer davantage la sécurité dans cette zone caractérisée actuellement par un flux massif de capitaux avec le déroulement de la campagne de commercialisation de l’arachide et la place grandissante qu’occupe le +louma+ [marché hebdomadaire] de Passy", a ajouté M. Cissé.
La vie du vigile du bureau de poste qui bénéficie de soins, ne serait pas en danger, assure-t-on.