Pour Tony Elumelu le continent africain doit procéder à une révolution au plan des investissements pour donner plus de tonus à son économie. Au forum Afrique Développement organisé par Attijariwafa Bank, il a donné une esquisse de son rêve. Selon lui, il est plus qu’urgent de mettre l’accent sur l'importance des investissements et la mise à disposition de bonnes infrastructures pour le développement du continent.
En effet, le secteur privé a la capacité et doit reconnaître et assumer son rôle dans le développement de notre continent. «J’ai décidé que je devais être ici pour participer à une telle initiative de mouvement vers l'avant. Je l'appelle l’Africapitalisme», dit-il devant l’asssitance.
L’Africapitalisme, à ses yeux, signifie que le secteur privé africain a le pouvoir de transformer l'Afrique à travers des investissements à long terme, en créant à la fois la prospérité économique et la richesse sociale; une conviction qu'il a soutenue par le lancement du Tony Elumelu Entrepreneurship Programme, un engagement de 100 millions $ sur 10 ans à créer la nouvelle génération d'entrepreneurs africains et à générer 10 milliards de $ de revenus annuels, en créant au moins un million d'emplois à travers l'Afrique.
Outre le dirigeant de UBA, le forum a vu la participation de grandes personnalités telles que Mohamed El Kettani, PDG du groupe Attijariwafa Bank, hôte du forum, Zahra Maafiri, Directrice Général de Maroc Export et co-hôte, de Mr Moulay Hafid Elalamy, ministre de l'Industrie, du Commerce, de l’Investissement et des Technologies de l’Economie Numérique (Maroc), entre autres.
Le forum prévoit de présenter une feuille de route pour les opportunités économiques, commerciales et d'investissement pour l'Afrique, ainsi que le positionnement du continent pour attirer des investissements viables, à long terme, dans deux des secteurs les plus critiques pour l'Afrique, l’Energie et l'Agriculture.
lejecos
En effet, le secteur privé a la capacité et doit reconnaître et assumer son rôle dans le développement de notre continent. «J’ai décidé que je devais être ici pour participer à une telle initiative de mouvement vers l'avant. Je l'appelle l’Africapitalisme», dit-il devant l’asssitance.
L’Africapitalisme, à ses yeux, signifie que le secteur privé africain a le pouvoir de transformer l'Afrique à travers des investissements à long terme, en créant à la fois la prospérité économique et la richesse sociale; une conviction qu'il a soutenue par le lancement du Tony Elumelu Entrepreneurship Programme, un engagement de 100 millions $ sur 10 ans à créer la nouvelle génération d'entrepreneurs africains et à générer 10 milliards de $ de revenus annuels, en créant au moins un million d'emplois à travers l'Afrique.
Outre le dirigeant de UBA, le forum a vu la participation de grandes personnalités telles que Mohamed El Kettani, PDG du groupe Attijariwafa Bank, hôte du forum, Zahra Maafiri, Directrice Général de Maroc Export et co-hôte, de Mr Moulay Hafid Elalamy, ministre de l'Industrie, du Commerce, de l’Investissement et des Technologies de l’Economie Numérique (Maroc), entre autres.
Le forum prévoit de présenter une feuille de route pour les opportunités économiques, commerciales et d'investissement pour l'Afrique, ainsi que le positionnement du continent pour attirer des investissements viables, à long terme, dans deux des secteurs les plus critiques pour l'Afrique, l’Energie et l'Agriculture.
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