La deuxième session de formation et de perfectionnement en santé sexuelle et droits humains a débuté, ce matin, à Dakar. Prévue pour quatre jours, cette initiative, qui vient après celle de 2014 à Saly, est, selon le Dr Jeanne Diaw, sexologue, d’une importance capitale, vu qu’« au niveau de la sexualité, il y a beaucoup de problématique, vu que, culturellement, c’est un domaine assez tabou », a reconnu Dr Diaw.
« Il nous faut assez de compétence pour parler à la communauté », a-t-elle dit avant d’ajouter que "quels que soient les dimensions de l’individu, la sexualité est au centre de ses préoccupations". « Donc, il faudrait apporter des réponses à ses besoins et à ses attentes », a recommandé Dr Diaw qui est, par ailleurs, présidente du réseau.
Mme Ndèye Fatou Touré, Consultante en droits humains, genre et santé, trouve qu’« il ne faut pas que l’on en fasse des sujets tabous et il ne faut pas, aussi que les hommes et les femmes refusent de discuter de la sexualité ». Trouvant qu’il Il y a, justement, « des droits qui sont attachés à la sexualité des uns et des autres, à la sexualité même du couple », elle indique que « tout doit se discuter en commun et pas de manière unilatérale, par exemple, par un homme, y compris le nombre de naissances ».
« Il faut donner l’éclairage juridique, dire que la communauté internationale consacre les droits pour la personne de décider de son sort, de disposer de son corps librement et de décider du nombre de maternités. Donc, il est question relative à la planification familiale, ce sont des questions de santé sexuelle et reproductive ; et de ce point de vue-là , nous pensons pouvoir être là pour donner l’éclairage public et montrer que ce sont des droits fondamentaux qui permettent d’accéder à l’information », dira l’ancienne député du parti Tekki.
« Il nous faut assez de compétence pour parler à la communauté », a-t-elle dit avant d’ajouter que "quels que soient les dimensions de l’individu, la sexualité est au centre de ses préoccupations". « Donc, il faudrait apporter des réponses à ses besoins et à ses attentes », a recommandé Dr Diaw qui est, par ailleurs, présidente du réseau.
Mme Ndèye Fatou Touré, Consultante en droits humains, genre et santé, trouve qu’« il ne faut pas que l’on en fasse des sujets tabous et il ne faut pas, aussi que les hommes et les femmes refusent de discuter de la sexualité ». Trouvant qu’il Il y a, justement, « des droits qui sont attachés à la sexualité des uns et des autres, à la sexualité même du couple », elle indique que « tout doit se discuter en commun et pas de manière unilatérale, par exemple, par un homme, y compris le nombre de naissances ».
« Il faut donner l’éclairage juridique, dire que la communauté internationale consacre les droits pour la personne de décider de son sort, de disposer de son corps librement et de décider du nombre de maternités. Donc, il est question relative à la planification familiale, ce sont des questions de santé sexuelle et reproductive ; et de ce point de vue-là , nous pensons pouvoir être là pour donner l’éclairage public et montrer que ce sont des droits fondamentaux qui permettent d’accéder à l’information », dira l’ancienne député du parti Tekki.